1. Le fol anniversaire d'Antonia (14)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... lit conjugal. Samuela : — Tu pourrais me parler de trente autres filles, ça ne me choquerait pas. Mais Angela !putain, Angela, quoi ! — Je vous raconte le dimanche ou ça suffit ? Samuela : — Je suis trop curieuse. — Le dimanche matin, nous avons un rapport au réveil, un autre anal avant midi et un troisième en début d’après-midi. On décide d’aller se balader. Angela est en minijupe plissée et porte-jarretelles. C’est là qu’elle me confie que Sam a beaucoup parlé le week-end suivant notre rupture. — Sincèrement, je ne me souviens pas de cette soirée. Viviane remémore : — Tu étais à ivre morte, normal que tu ne te rappelles de rien. Mais je peux t’assurer que toutes les nanas présentes ce soir-là n’avaient qu’une idée en tête en rentrant chez elle : se le taper. Moi la première. Je pense qu’on s’est toutes masturbée en pensant à toi cette nuit-là. Éclats de rire. Samuela tempère : — Tu exagères ! Je n’ai pas pu en dire autant. — Pardon ? Et qu’il est endurant, et qu’il a unegrosse bite, et qu’il baise comme un Dieu, et qu’il aime les jupes, les robes, la lingerie fine, et qu’il m’a sautée dans lestoilettes de tel bar, de telle boite, dans tel lieu, et que je l’ai sucé ici et là. Mais le pompon, c’est quand tu as décris la levrette avec lui : je pense que tu étais trop bourrée pour que ça t’excite, mais moi, je te promets que j’ai mouillé mon string en t’écoutant. Et j’étais loin d’être la seule, crois-moi. Antonia rit et dit : — Je confirme mot pour moi ce que vient de dire ...
    ... Viviane. J’avais aussi l’entrejambe bien humide. Je dis à Samuela : — Ta langue. Tu comprends maintenant. Elle se marre. Je poursuis. — Angela était dans le même état que vous après cette soirée, à la différence près qu’elle me voyait le lendemain au travail. Quelques jours plus tard, elle m’a raconté que je l’avais complimentée sur sa tenue et ça l’avait tellement excitée qu’elle était était directement se masturber aux toilettes. Je marque une pause. — Pour finir le dimanche, nous sommes rentrés vers 16h et nous sommes restés au lit jusqu’à 19h30. Il fallait qu’elle change les draps, qu’elle range, mais c’était dur pour elle de me laisser partir. On a baisé une dernière fois derrière la porte d’entrée. smasjjq Antonia dit : — Et ça s’est terminé comme ça ? — Plus ou moins. Sur le chemin du retour, j’ai eu un énorme coup de blues. Car on en pinçait l’un pour l’autre, on s’était dit des choses très fortes durant le week-end. Je me disais que nous étions clairement passés à côté de quelque chose mais qu’il était désormais trop tard. Je lui ai écrit un mail en ce sens en rentrant et elle a répondu qu’elle se faisait la même réflexion. On a préféré cesser tout contact. Avec le temps, ces cinq jours me sont apparus enchanteurs. Une relation sans prise de tête, uniquement pour le plaisir de s’abandonner l’un à l’autre. Samuela sourit et rebondit sur ma dernière phrase : — En parlant de s’abandonner, j’ai très envie de me perdre moi aussi. Elle m’embrasse à pleine bouche et caresse ...