1. Quelques jours d'égarement (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... ronronnait littéralement, je sentais son corps agité de spasmes de plaisir. Chacune de mes caresses déclenchait une réaction, certes flatteuse, mais disproportionnée. — Qu’est ce que tu as ? Demandais-je. — C’est de ta faute, avec tout ce que tu me dis, je suis hyper excitée. — Tentée ? — Je veux jouer avec mon corps et perdre l’esprit. Je suis prête. Je glissais ma main sur son ventre, elle se cambra, je descendis sur son entrejambe, elle s’ouvrit. Sa chatte était déjà trempée et ouverte. Elle planta ses dents dans mon cou et soupirant. A part dans l’orgasme, je ne l’avais jamais vu comme ça. — Mais tu es chaude, bouillante ! — Je veux des sensations pour rassasier ce désir incroyable je n’en peux plus ! Ta bite ne me suffira pas ! Elle se liquéfiait sur mes doigts qui jouaient à l’entrée de son sexe. Ses lèvres étaient souples, parfaitement détendues. — Trouve quelque chose, je t’en supplie ! Fais moi jouir comme une chienne. Je jetais un coup d’œil circulaire dans la chambre pour répondre à cette supplique. Rien. Je me levais. Sa main remplaça la mienne. — Eh là, pas trop vite, sinon tu n’auras plus envie, dis-je. — Attache moi, sinon je ne pourrais m’en empêcher ! Je pris la ceinture de son peignoir et lui ligotais les deux poignets en passant le lien dans la tête de lit en fer forgé. Une autre ceinture lui maintint les chevilles. Crucifiée sur le lit, elle me supplia encore de me dépêcher de la satisfaire. Je partis dans la cuisine car je pensais que la solution à mon ...
    ... problème s’y trouvait. J’ouvris le frigo et contemplait les concombres que le fermier nous avait donné en précisant qu’ils seraient à coup sûr délicieux. Quatre beaux concombres ! Quatre ! C’était trop mais bon. — J’ai trouvé, criais-je. — Dépêche toi de venir me baiser, je t’en supplie ! Ces propos vicieux d’Elodie m’excitaient vraiment. Je me sentais attiré par cette expérience. Je revins dans la chambre en exhibant mes concombres. J’aperçus alors derrière la fenêtre la silhouette de notre hôte. Il fixait Elodie nue, indécente, attachée sur le lit. Il me fit un sourire complice. Sans hésiter, j’allais jusqu’à la porte fenêtre et l’ouvrit. — Vous tombez bien, lui dis-je. — Je ne vous dérange pas ? — Pas du tout, entrez. Il contempla le corps offert d’Elodie. Admiratif. Sans faire attention à lui, je m’assis sur le bord du lit. Elle regarda mes légumes avec envie, le corps agité d’ondes. La présence du fermier ne fit que l’exciter plus encore. — Montre moi ta queue, lui dit-elle gémissante. Le fermier n’attendit pas et descendit la fermeture éclair de sa cotte de travail, sous laquelle il était nu. Il avait un corps trapu, musclé et poilu. Il était taillé grossièrement dans un bloc. Il exhiba une belle bite qui surgit d’un épais buisson de poils. Il se débarrassa de son vêtement et s’assit de l’autre coté d’Elodie. Il posa sa grosse main calleuse sur le ventre creusé par la cambrure de ce corps en délire. J’avais posé les concombres entre les cuisses d’Elodie et lui caressait ...
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