1. Parole de scout !


    Datte: 03/07/2019, Catégories: fh, extracon, extraoffre, vacances, forêt, Oral pénétratio, humour, québec, extraconj, camping,

    ... doucement. Les petites cerises tatouées sursautaient. — Paul, ça va ? Je mis sur haut-parleur et posai mon téléphone dans le creux des reins de Marie, qui me regarda intriguée. Comme ça je pus lui agripper les hanches solidement pour mieux la baiser en jasant ! — Oui toi ?— On n’a pu de courant, les routes sont bloquées, des ponts ont disparu. Je vais être coincée ici au moins une semaine, y paraît. Comment est-ce que tu vas t’arranger ? T’as pas d’auto.— Les voisines sont toujours là, t’inquiète pas. Chaque fois que je frappais les fesses, le téléphone tanguait et là, Suzanne dut entendre le bruit de mon ventre heurtant Marie, car elle demanda. — T’es en train de faire ce que je pense, Paul ?— Oui !— Je tombe mal, désolée… Je peux savoir qui est là ?— C’est Marie, mais c’est confidentiel ! répondit la grande rousse.— Oh, c’est sûr ! Salut, madame Lemieux.— Salut ! fit Marie en pâmoison les yeux mi-clos mais tout sourire.— Mon petit écureuil s’agite bien ? demanda Suzanne. Gros fou rire de Marie et de ma blonde. — Oui ! finit par dire Marie au bout d’un moment. Oui, pas mal. Eh bien ! Vous êtes un drôle de couple tous les deux ! Et vous, y a un petit écureuil dans le coin ?— Moi, avec la devanture que j’ai, y en a toujours plusieurs. Encore des rires. — Plusieurs, fit Marie, vous êtes chanceuse, Suzanne moi j’en ai qu’un, pis y est tout en sueur. Encore des rires. Ah, les filles ! — Bon, je vais vous laisser, fit Suzanne.— Et ta sœur va bien ? demandai-je. Gros silence ...
    ... inquiétant tandis que je passais un pouce sur l’anus plissé de Marie Lemieux. Ça me fit frissonner. — Suzanne, t’es là ?— Ouais, ben… Oui, a va bien… Eh… J’ai rencontré Mike…— Pardon…— T’inquiète pas, je t’aime, Paul. Amuse-toi bien. Si y a quéq’ chose, appelle-moi, OK ? Salut, Marie !— Salut !— Bye !— Bye ! Je fermai l’appareil et le jetai derrière moi. La tentation de m’en servir pour filmer le cul de Marie était trop grande. — Ça va ? T’as l’air bizarre, Paul, me demanda-t-elle les yeux vitreux tête tournée vers moi. Ses seins étirés se balançaient au même rythme que mes couilles. — Ouais, ça va bien, mais elle a rencontré son ex… Là, je me mis à la besogner avec plus de force, ses fesses rebondissaient merveilleusement. — Oh…— Hum…— Et c’est mauvais, ça ? demanda telle en se mettant sur les coudes le front sur l’oreiller. Son cul sembla s’élargir, un cul tout blanc que j’admirais que je pressais et que je caressais en salivant tout en regardant ma bite luisante de déjection vaginale aller et venir en elle. — D’habitude, oui. Elle part avec un moment, y se remet à boire et à baiser tout ce qui bouge malgré ses belles promesses et elle revient en petits morceaux.— Pauvre toi ! Je vais te la faire oublier pour ce soir, dit-elle. Ouf… Oui… Ah ! oui… Je m’acharnai un long moment, concentré sur mon plaisir, mais sans pouvoir décharger. On changea de position, elle se mit sur le dos, ramenant l’oreiller sous sa tête, jambes croisées sur mes reins et je la pénétrai à nouveau. ...
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