Mon mari m'offre à d'autres mâles. (1)
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Franck me délaissait depuis quelques temps. Il n’était plus aussi assidu au plumard que lors de nos premières années ensemble, qui remontaient à dix ans. Il était masseur dans un centre thermal où je faisais un job d’été. Cela avait été un coup de foudre. Il faut dire que c’est un géant de presque deux mètres, fort et blond aux yeux bleus. J’étais tombée raide dingue dès le premier jour. J’avais une petite chambre sous les combles. Le soir, seule, je pensais à lui. Soudain on avait frappé. J’avais ouvert la porte et c’était lui. En fait, il m’avait suivie mais avait hésité longtemps avant de venir... Il n’avait eu que le temps de dire salut... je l’avais fait entrer et aussitôt, comme j’étais déjà en peignoir, je l’avais ouvert. "ah ouais direct "? avait-il dit. — Je sais ce n’est pas romantique, mais j’ai juste envie de toi. Tu es trop canon ! Il avait ouvert sa braguette. Il ne portait pas de slip. Son sexe était très gros. J’eus tout le temps d’en mesurer l’harmonie plus tard, 17 par 17 de circonférence. Ile bandait formant un angle de 90° avec le pubis très poilu et remontait très légèrement à la fin de la hampe vers le gland énorme, tout rond, sans relief. J’avais aussitôt sucé le gros nœud puis il m’avait couché sur le lit et sans préliminaires m’avait enfilée. Il m’avait sautée en missionnaire. Au moment de jouir, il s’était retiré et allongé sur le dos. Je m’étais vite mise au dessus de son visage pour qu’il me bouffe la raie le temps que je l’achève à la main. Il ...
... éjacula comme un taureau. Ce fut une fontaine à sperme. Le geyser monta très haut m’éclaboussant les seins, retombant en une pluie abondante sur les cuisses, les poils, la pine. Nous n’eûmes rien d’autre à dire. Nous fûmes amants dès le premier jour. Les vacances finies, il me rejoignit dans la banlieue parisienne où nous élûmes domicile immédiatement après notre mariage. Pendant les premières années, la baise fut au menu de tous les jours et même plusieurs fois par jour. Le soir c’était de longues séances chaudes où il se montrait très endurant; parfois, le matin, quand j’étais nue dans la salle de bain il me prenait par derrière pendant que je me tenais au lavabo et me niquait rapidement. Je m’aidais alors de mes doigts sur le clito pour venir en même temps que lui. Cela durait cinq minutes et le soir il me reprenait plus lentement et dans toutes les positons. Quand j’avais mes règles, il me prenait dans le cul. Bref, nous avions une vie sexuelle très épanouie. Mais depuis quelques mois il était beaucoup moins demandeur. Je lui avais demandé s’il y avait une autre femme. Il m’avait répondu : "Non Lydie, rassure-toi, c’est juste un peu de fatigue". Mais cette fatigue durait beaucoup trop à mon goût. Je soupçonnai une maîtresse, une double vie, que sais-je encore... Ce fut un samedi soir que tout se décanta. D’habitude, nous sortions, au ciné, chez des amis, au resto... mais ce soir là j’avais vraiment envie de me faire prendre. Il ne m’avait quasiment pas baisée de la semaine ...