1. Premier fantasme exaucé


    Datte: 03/07/2019, Catégories: fh, hplusag, grossexe, école, jeu, Voyeur / Exhib / Nudisme Collègues / Travail

    ... bouche, en un jet puissant. Comme je fais mine de vouloir recracher, il me présente un paquet de mouchoirs en papier. Je me retire et crache le liquide chaud dans un mouchoir. — Je crois avoir payé ma dette, maintenant. Laissez-moi partir ! Je lui ai parlé sèchement. Cependant, en mon for intérieur, j’espère qu’il ne va pas renoncer à découvrir mon sexe avec le sien. — Vous avez commencé à la rembourser, mais c’est insuffisant pour un livre d’une telle valeur.— Vous avez joui : cela devrait être suffisant. Et un presque vieillard comme vous ne va pas rebander de sitôt ! Cela agit sur lui comme un électrochoc. Il descend brusquement du bureau, la queue pendante entre les jambes. Soit il joue très bien son rôle, soit j’ai touché un point sensible. Il me prend par le bras et m’emmène de l’autre côté de son bureau, à l’emplacement où je l’ai vu prendre Anna Bideau. — Penchez-vous sur le bureau ! Il arrache presque ma culotte qui tombe à mes mollets et se recule. — Votre croupe bien potelée va me remettre en forme, vous allez voir. En tout cas, vous, vous en avez envie. Les poils de votre chatte sont trempés.— Ce n’est pas vrai ; vous être un sale pervers ! En guise de réponse, je sursaute car un doigt s’enfonce dans mon vagin. — Menteuse ! Votre vagin est prêt à me recevoir, sans même avoir besoin de lubrifier le préservatif. Vous allez voir comment votre corps va vite me remettre en forme. Il se plaque contre moi. Je sens ses cuisses contre les miennes. Sa main gauche se place ...
    ... devant moi entre mes cuisses, s’insinue dans ma vulve et trouve mon bouton tandis que sa main droite me pétrit le sein. Je ne peux me retenir de pousser des petits gémissements. Son pénis tire un peu à gauche. Je le sens durcir peu à peu. Il frotte ma cuisse. Il entre à nouveau en érection. Plus grand que moi, il fléchit les jambes au fur et à mesure. Sa longueur hors du commun fait que bientôt sa hampe se plaque sur mes grandes lèvres et que je vois le gland apparaître au niveau de sa main. Il fait glisser son engin sur ma vulve. — Vous voyez l’arme avec laquelle je vais vous punir, Mademoiselle ?— Non ! Je ne veux pas de votre monstruosité en moi, je vous en prie… Je ne veux et ne peux le recevoir.— Je ne vous demande pas si vous voulez ; et avec de la bonne volonté, je parie que je me fraierai mon chemin dans votre intimité. Écartez davantage les cuisses. Il se retire, passe un préservatif et place ses deux mains sur mes hanches. D’un coup sec, il s’engage en moi profondément. Je ne peux retenir un cri à la fois de surprise et un peu de douleur quand il bute au fond de moi. Il place ses mains de part et d’autre de moi à plat sur le bureau, et tel un étalon qui saillit sa jument, il me prend violemment avec des coups de reins puissants. Ses cuisses claquent contre mes fesses et le bureau bouge sur ses pieds à chaque poussée. Je sens mon plaisir monter rapidement. C’est la première fois de ma vie que je suis un objet sexuel consentant que l’on consomme sans modération, que ...