1. La leçon de piano


    Datte: 04/07/2019, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, intermast, Oral pénétratio,

    Je terminais l’épisode 1 de mon histoire de leçon de piano comme suit : Je me suis emparée, dieu sait comment, de sa verge qui se mit à palpiter dans ma main comme un animal vivant. Je ne me souvenais plus comme c’était dur et chaud (et bon ..) une queue d’homme. La main de mon coquin devenait de plus en plus fureteuse et s’était maintenant introduite sous le tissu de mon slip et folâtrait sans vergogne dans ma toison cherchant mon petit bouton. Ce n’était pas un novice !! Il me dit : " Merde alors, ce que tu es fournie du barbu… (traduction : ce que ta toison pubienne est abondante ! " C’était bien la première fois au cours de mes nombreuses leçons privées de piano que je cédais ainsi à l’attirance sexuelle pour un élève. Il faut dire que cela faisait deux ans de veuvage au cours desquels j’avais essayé de maîtriser mes envies mais cette fois, John m’attirait. Il était comme un jeune étalon sauvage, sans retenue mais plein d’une force animale et croyait que tout lui étais dû. Son langage « moderne » qui aurait dû me heurter, au contraire, me plaisait et rendait encore plus probable ma totale reddition. Au stade où nous en étions, sa main enfouie sous ma jupe et folâtrant sous mon slip et moi tenant son sexe.. j’aurais encore pu mettre le holà et tout stopper sous le prétexte d’un égarement passager. Mais non, pourquoi arrêter ? J’avais besoin de ce contact sexuel, j’avais besoin de cette main qui allait commencer à fouiller mon intimité, j’avais besoin de cette queue ...
    ... vibrant sous mes doigts, j’en avais besoin en moi… je le voulais et au diable les conséquences ! John, avec beaucoup de délicatesse, a retiré la veste de mon tailleur et, sa bouche toujours sur la mienne, il entreprit de défaire les boutons de mon chemisier qu’il fit rapidement glisser de mes épaules… je lui laissai toute l’initiative. Il fit tomber ma jupe à mes pieds et je me suis retrouvée devant lui, déjà un peu échevelée, en soutien-gorge, slip, bas et porte-jarretelles…tentatrice ou tentée ? Pour ne pas être en reste, j’ai fait glisser son boxer-short le long de ses jambes. Je me plaisais à ce long baiser. John avait la langue très mobile et explorait toute ma bouche, jouait avec ma langue, buvait ma salive, me mordillait les lèvres, ouvrant grand sa bouche, la refermant, captant et suçant ma langue… c’était un vrai régal, d’autant plus que sa main n’était pas inactive et continuait des caresses précises sous mon slip. Le petit coquin avait trouvé mon bouton d’amour blotti au fond de ma toison et ne se privait pas de le gâter par des petits pincements de doigts, des caresses du pouce, et le massait comme pour la masturbation d’un sexe miniature. Il ne le savait pas mais j’avais déjà eu deux orgasmes, le premier lorsque sa bouche avait rejoint la mienne et le second lorsque sa main s’était introduite sous mon slip. John cessa de s’occuper de mes lèvres et, se détachant un peu de moi, il me regardait ainsi quasi nue devant lui. " Tu es belle, me dit-il. J’aime les matures comme ...
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