1. Le prix d'un gobelin (1)


    Datte: 04/07/2019, Catégories: Erotique,

    ... cuisses, sa langue lui lécher le creux du ventre. Il dansait contre elle, frottant sa virilité contre sa féminité, le gland se frayant un chemin dans les replis de ses lèvres, sans chercher à entrer. Elle se retrouvait à mouiller de plus en plus malgré sa raison qui luttait, de plus en plus difficilement. Une part en elle lui disait de se laisser faire, de se faire prendre bien sauvagement et d’embrasser l’union contre nature avec la bête. Sentir le sexe bien veineux appuyer contre son clitoris, glissant dessus, ne l’aida pas à voir clair. Elle sentait le stupre monter en elle. Mordant sa langue, elle résistait à l’envie de lui demander de la prendre sauvagement. Sa dignité lui interdisait de sombrer jusque là, de se livrer, fertile, à ce gobelin qui voulait faire d’elle la mère de ses ennemis. Elle se refusait de céder à la débauche qui était offert à elle, mais c’était si dur de garder son intégrité alors que tout son corps réclamait d’être comblé. Les bourses de la créature se frottaient contre ses fesses, rappelant sans cesse à Lénore le sperme fertile s’y trouvant. C’est alors qu’elle le sentit, son sexe entra en elle très lentement. Son gland glissa d’abord, le prochain coup de hanche langoureux l’amena encore plus loin ensuite. Les doutes de Lénore s’effacèrent au profit du désir qui habitait désormais son corps de femme en chaleur. L’entièreté de son vagin était humide de mouille pour l’aider à la réclamer et la posséder. Il ne suffit que de quelques coups pour ...
    ... qu’elle le sente au fond, s’ajustant aux sensations de plaisir qu’elle ressentait. Ses coups lents gagnèrent en intensité, en rapidité. Le gobelin se mettait à laisser l’instinct l’habiter. Après avoir tenté sa femelle, il était temps de la conquérir. Ses testicules commençaient à claquer contre ses fesses, dans un bruit humide. Le corps de la femme pétillait de plaisir, sentant le membre glisser fougueusement en elle. Elle ne remarqua pas le couteau tiré du fourreau que gardait le chef. Il le glissa derrière elle et coupa la corde, la libérant alors de ses entraves. Elle tenta vivement de le repousser, posant ses mains sur son torse, mais ses coups continus de hanche, battant contre ses cuisses rendaient sa tentative vaine. Sans réfléchir, elle glissa alors ses doigts sur les fesses du gobelin, les agrippant et les tirant à elle. Avec son encouragement, le gros membre plongea encore plus profondément en elle, remplissant le fond de son ventre, électrisant tout son être. Elle resta allongé là, le laissant la baiser comme personne ne l’a jamais fait, l’encourageant avec des petits cris et des gémissements. Avec un coup bien brusque, elle le sentait contre l’entrée de son utérus. La peur qui habitait son esprit se remplaçait par l’anticipation, celui de le sentir jouir en elle, la remplir et la souiller, peu importe les conséquences. Elle n’avait jamais pensé que ce gobelin était bien meilleur amant que tout homme qu’elle avait croisé. “Toi aimer ?” elle l’entendit dire, entre deux ...
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