1. Controle toujours plus


    Datte: 04/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature,

    ... dis-je ! Et puis, revenu le soir plus calme, il n’avait pas réussi à m’amadouer, avait fini sur le sofa. Il avait tenu un mois comme ça(moi aussi !).Et puis réconciliés, nous avions fait l’amour, fous de désir, comme a nos débuts. Une fois alanguis, j’avais sorti la cage de chasteté de la table de chevet et l’avait persuadé de la porter jusqu’à la prochaine fois. Comme tout homme lorsque ses couilles sont vidangées, il avait fini par accepter pour me prouver que c’est de mon corps qu’il fantasmait en regardant ses vidéos (si, si !).Insensiblement j’avais pris gout à cette situation : son manque le rendait docile, attentionné, demandeur, respectueux, fiévreux de désir. Mon emprise sur notre relation augmentait de semaines en semaines. Mes envies devenaient des règles…Lui, comme un lion en cage, au départ, menaçait de partir du domicile dès que la clef ouvrait son étui. Il ne supportait pas d’attendre le weekend pour pouvoir ‘ baiser sa femme’…Un siècle vous dis-je ! Et puis sa fierté de mâle fondait face à ses nuits sur le canapé, son petit confort à la maison, sa femme boniche qui l’attendait à son retour, ses impératifs au boulot. Bref le petit oiseau retournait de plus en plus docilement dans sa cage.Pour y rester 6 jours. Puis une fois le rythme pris, le fauve résigné, le rythme de sortie diminua pour passer progressivement à 15 20 25 puis 30 jours.Avec le temps et les privations son caractère devenait de plus en plus docile et un simple froncement de sourcils lui clouait ...
    ... souvent la parole. Son envie sexuelle ne lui faisait miroiter que l’autorisation mensuelle de ‘jouir’ en quelques minutes. Il savait et acceptait au plus profond de lui-même désormais que s’il se rebellait, sa récompense serait repoussée de 30 longues journées minimum. Il n'avait qu'à bien se tenir. L’épisode précédent avait rompu une digue dans son amour propre. Sa couche remplie d’urine et de sperme avait dégouliné sur ses jambes quand il était remonté en selle. Au retour je lui avais parlé comme à un enfant fautif sale. Il avait du tout nettoyer, sécher. Et avaler son amour propre… Mais cela se passait un weekend. Aujourd’hui c’était lundi et journée de bureau…L’heure tournait et il allait se mettre en retard !Finalement, battu par mes arguments, il fini par prendre la couche que je lui tendais. Oui une véritable couche pour adulte incontinent cette fois, avec des scratchs sur les côtés ! Suivit un slip de latex délicieusement transparent qui vint étanchéifier tout ça par des pressions sur les côtés et des élastiques autour des cuisses bien serrés. Garanti 100 % étanche par le fabriquant, je lui expliquais qu’il était tranquille avec ce slip. Des mois de privation et l’épisode en vélo l’avait rendu doux comme un agneau. Sa révolte d’avant s’était muée en bouderie, mais je devais toujours me montrer ferme.Quand je lui tendis son short, il devint perplexe. Au premier abord, celui-ci faisait penser à un short moulant en cuir pour les gays. Il n’y était pas. Le cuir était là ...