1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°823)


    Datte: 05/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... impressionnants espaces. Chaque couloir traversé était d’une hauteur équivalente à 5 ou 6 mètres où moulures sculptées et énormes chandeliers étaient flanqués de chaque côté des murs. Comme elle l’avait déjà remarqué en arrivant, partout où elle passait, elle découvrit ce même faste. Cette demeure était un vrai bijou de multiples richesses, quasi à l’excès. Richesses architecturales, culturelles, artistiques, des meubles anciens, aux tentures, aux tableaux, aux lustres. Tout était disposé judicieusement et provoquait cette forte sensation qu’on se trouvait à Versailles sous le Grand Louis Soleil, tant ces richesses abondaient dans des espaces aux longueurs interminables. Tous les sols étaient feutrés par l’immense tapis épais et donnaient aux couloirs la sensation d’être dans des pièces à part entière. Mêmes les plafonds des couloirs étaient ornés de peintures, de fresques aux multiples couleurs. Fanny était très impressionnée par tant de luxe déployé et cela lui en donnait presque le tournis. Par deux fois, David et Fanny croisèrent des esclaves également menés à la laisse par de robustes noirs torse nus à la musculature généreuse. Seul un pagne cachait leurs parties génitales. La première fois, il y avait un couple nu et enchaîné, un mâle encagé et évoluait à ses côtés, une femelle avec une cage de chasteté digne de celles du temps des Croisades. Il marchaient tête baissée, Des traces de fouet recouvraient leur corps tandis que le nègre devant tirait les 2 laisses avec ...
    ... fierté, la tête haute. La deuxième fois, derrière un autre black, il y avait, à la file indienne, tous encordé à la suite, une demi-douzaine d’esclaves qui évoluait également sans le moindre mot. Fanny ressentait cette docilité, cet avilissement que faisait ressortir cette scène qu’au aurait cru toute droit sortit d’un péplum, de les voir marcher ainsi. Tous portaient des colliers aux armoiries des Evans. Alors elle regarda de plus près son collier, qu’elle avait négligemment omis d’observer pour s’apercevoir que le sien aussi était marqué à l’effigie des Evans. Après d’interminables dédales entre couloirs, David s’arrêta enfin devant une immense double-portes en chêne massif verni aux moulues sculptées d’époque. Une musique de chambre douce parvenait aux oreilles de fanny, probablement du Bach, quand le compagnon du Marquis lui dit : - Je vais ouvrir et te laisser seule. Ne t’inquiète pas, tout est prévu ! Derrière cette porte deux femelles t’attendent pour t’emmener devant ton Maître. Tu vas voir certainement des choses que tu n’as encore jamais vu, dit-il en ricanant et s’en allant après avoir frappé de son poing à la porte. La porte s’ouvrit doucement comme par enchantement. Et ce que aperçut Fanny dépassait ce qu’elle avait imaginé. Une pièce immense aux décorations également luxueuses. * A sa gauche un immense bar massif verni, tels ceux que l’on trouve dans les discothèques haut de gamme. Ce bar tenant toute la largeur de la pièce, d’environ une quinzaine de mètres était ...