Coups de foudre
Datte: 05/07/2019,
Catégories:
grp,
jeunes,
inconnu,
copains,
jalousie,
noculotte,
odeurs,
préservati,
jouet,
échange,
Partouze / Groupe
fantastiqu,
fantastiq,
... son immeuble, harnachée de pied en cap, les pointes de ses seins effacées pas un opaque caparaçon. — C’est toi ? me demanda-t-elle, sans savoir qu’en effet la réponse pouvait parfois n’être pas évidente. Mais là, elle l’était.— C’est moi.— Tu savais où j’habite ?— Ma sœur me l’a dit. Elle m’atout dit. Menteuse !— Oh mon Dieu !— En effet ! Mais il me faut quelques explications. Tu me fais monter dans ta chambrette, ce joli lieu de stupre et de fornication ?— C’était la première fois, j’te le jure !— Pourquoi m’avoir menti ?— J’avais trop peur que tu me repousses. Oui, viens dans ma chambre, je ferai tout ce que tu voudras pour me faire pardonner. Elle n’avait pas refait le lit. Elle vit que je le considérais très amèrement en hochant la tête de désolation. — Avec ma sœur !… Est-ce qu’elle t’a donné du plaisir, au moins ? Elle se demanda manifestement s’il lui fallait mentir ou non. Elle me regardait par en dessous. — Un peu…— Un peu, ou beaucoup ?— Plutôt beaucoup. Mais parce que c’était ta sœur. C’est à toi que je pensais.— À moi, vraiment ?— J’te jure. Depuis que je t’ai vu ce matin j’pense qu’à toi. Voilà, c’est dit. Je t’ai aimé dès que je t’ai vu.— Le coup de foudre, hein ?— Parfaitement, le coup de foudre ! Tu m’crois pas ? Tu me trouves moche ?— Non. Tu me plais bien.— Vrai ? Oh, alors, embrasse-moi. Qu’est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ? Notre baiser fut long et humide. Elle avait la langue envahissante et frottait son pubis contre le mien. — Tu as ...
... envie de moi, hein ? balbutia-t-elle, alors que mes mains palpaient ses seins, d’abord pas dessus son corsage puis par dessous. Je me promis de longues délices la nuit durant, avec ces gros seins que maintes mains de garçons tripoteraient allègrement. Car ma décision était prise. Nathalie me tirait vers son lit de la main gauche, tout en défaisant de la droite la ceinture de sa jupe. — Couche-toi et attends, lui dis-je. Où est la salle de bains ? Elle m’en montra la porte. Aussitôt seul et très vite nu je prononçai la formule : — Je voudrais bien être Nathalie, si seulement Papy faisait cela pour moi. Quels gros seins ! Quels jolis petits poils presque transparents autour de ma fente humide ! J’entrouvris aussi la porte. Nathalie dormait, évidemment. Je revêtis son slip, son soutien-gorge, sa jupe et son corsage. Je glissai les pieds dans ses sandalettes, en déplorant une fois de plus les chevilles un peu trop fortes mais personne n’est parfait. Comme j’avais la ferme intention de redevenir moi-même au cours de la nuit, j’écrivis ceci sur une feuille de papier : Il y avait sur une table basse un sac contenant force bizarreries mais dans lequel il restait un peu de place pour mes habits. Y mettre aussi le gode ? Et solliciter de Papy ma métamorphose, dans le dortoir des filles ? Holà, prudence ! Comment faire pour penser la formule, plus tard, afin de redevenir moi-même ? Mauvaise pioche, ce gode ! Être dépendant de piles électriques pour vibrer, voilà qui ne m’aurait guère ...