1. Litige immobilier (2)


    Datte: 16/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Madame... Cindy se lève de son bureau, et serre la main de Laura en lui disant : — Bien Laura, pour votre dossier je vous appelle dès qu’on a du nouveau, rentrez bien, et n’hésitez pas à m’appeler si vous avez des questions. — Oui merci beaucoup Cindy, vous m’avez bien aidée, et puis j’ai passé une bonne heure en votre compagnie, malgré la présence de ce gros pervers dégueulasse !!! — Oui Laura, je vous présente mes excuses au nom de Bouygues Immobilier, j’espère que le mal sera réparé ce week-end, tenez-moi au courant. — J’y manquerai pas, au revoir. — Au revoir Laura. Laura passe devant moi, me regarde avec un sourire vicieux, moqueur, me tire la langue comme une gamine qui se moque de moi et semble dire « nananère, j’ai gagné, tu vas être ma pute à moi aussi ». Elle sort du bureau et referme la porte. Cindy me regarde, et s’adresse à moi avec un ton humiliant : — Tu vas tellement être humilié, tu as pas idée petite pute. Tu m’appartiens, et je vais trop m’amuser avec toi ! — Oui Madame BONNIN. — Ahahaha ! Petite salope ! Depuis notre première rencontre j’ai compris que tu étais soumis, que tu aimais que je te parle mal, je l’ai remarqué tout de suite ! — Oh... mais... — Mais quoi ? T’es foutu, tu m’as fait chanter, et en plus je sais que tu aimes ça, tu es à moi maintenant ! — Oui Madame... — Ahahaha, j’ai vraiment un boulot super en ...
    ... fait ! Je fais plein d’erreurs, et au lieu d’être sanctionnée c’est mon client qui me dédommage financièrement, et qui, en plus, devient ma pute. Si tous mes clients pouvaient être comme toi, je serai la reine du monde ahahaha ! Cindy a désormais une totale emprise sur moi. Elle avait deviné depuis le début que j’étais soumis, et elle m’a manipulé entièrement. Je suis foutu maintenant, condamné à être son esclave sexuel, son larbin, son prisonnier. Et je suis même le larbin de la cliente pour le week-end prochain, que va-t-il se passer chez Laura ? — Bien cochon, rhabille-toi, on est dans un bureau public ici, tu te crois où ??? Cindy m’humilie de plus en plus, jouant sur mes nerfs, sur le paradoxe de la situation. — Oui Madame, pardon, je me rhabille. — Casse-toi maintenant, je t’autorise à te rhabiller ici, tu as de la chance, je suis trop bonne, remercie-moi ! — Merci Madame BONNIN ! — Et tu as intérêt à aller chez Laura, sinon ce que tu as subi ici ça sera vraiment rien à côté de ce que je te réserve. — Oui Madame j’y serai promis ! Je me rhabille, toujours sous le regard de Cindy qui s’impatiente. — Je... je m’en vais alors Madame... au revoir. — Au revoir mon petit cochon ahahah ! Je rentre chez moi, totalement humilié, mais soulagé que cela soit enfin terminé, enfin, jusqu’au week-end suivant, où je ne sais pas à quoi m’attendre... 
«12...5678»