1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (3)


    Datte: 06/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... cul et à tomber sur mes couilles. Je trouvais ça dégueulasse mais n’étais guère en position de m’en soucier. J’étais si excité que je lui criais des insanités : — Raaah ! Julie ! Ca y est ! Je vais te remplir de sperme, petite salope ! — Vas-y, Benoit ! Fais déborder ma chatte ! Je veux que tu jouisses ! Je vins. Je retins mon grognement en lui mordillant l’épaule, puis lâchai toute ma sauce dans son vagin. J’étais plongé dans un bonheur sans fin tandis que je sentis mes bourses se vider par à-coups. J’essayai de la pénétrer plus en profondeur pour bien la remplir. Je la sentis secouée par un nouvel orgasme. C’était merveilleux de jouir ensemble. Si seulement je pouvais l’avoir rien que pour moi. Elle s’écroula sur mon torse. J’étais moi-même bien trop faible pour pouvoir bouger. C’est fou comment on peut ignorer la fatigue quand on est excité. J’ai eu cette réaction étrange dans l’enlacer comme si j’étais son amoureux. Jean s’approcha de nous pour prendre des gros plans. Il s’attarda particulièrement sur ses orifices. Mon sexe était toujours dans sa chatte alors que son cul béant dégoulinait de foutre. Des filets commençaient à s’échapper également de son vagin lorsque ma queue se mit à ramollir. Puis ce fut un flot assez conséquent qui en jaillit une fois qu’elle en sortit après être redevenue flasque. — Putain... C’était... super... commenta-t-elle. Vous savez comment baiser une femme. Après cela, nous prîmes chacun une douche et nous nous séparâmes. L’ambiance était calme ...
    ... et détendue. Nous ne dîmes rien de particulier. Nous étions simplement heureux d’avoir pris du bon temps. Avant de partir, Julie insista pour que je lui fasse une copie de la vidéo. Cette vidéo, je la regardai chez moi pour voir le résultat, et c’était vraiment le pied ! Je rebandai juste à nous mater. J’adorais vraiment voir Julie en mode pute. Je me demandai quelle allait être sa réaction lorsqu’elle se verrait elle-même en train de se faire prendre comme une trainée. Le lendemain à la plage, nous agissions à nouveau comme si rien ne s’était passé. Nous étions juste quatre amis qui profitions du soleil et de la mer parmi un groupe d’étudiants. Sans sous-entendu, ni arrière-pensée... À vrai dire, je crois que nous n’avions jamais été aussi soudés. Lorsque nous fûmes tous les quatre sur des transats et que les autres étaient un peu éloignés, Julie se tourna vers nous et nous sortit : — Les mecs, je m’ennuie un peu. Ça ne vous tente pas d’aller rebaiser un coup tout de suite ? Sa façon désinvolte de parler de ces choses-là me désarçonnait. Je m’attendais bien sûr à ce qu’on remette ça un jour ou l’autre avant la fin des vacances, la gêne était clairement passée sur ce sujet et nous en avions tous envie, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit si vite ni comme ça. Bien sûr que tout le monde était partant ! Nous prîmes discrètement congé des autres et trouvâmes un coin tranquille en plein air. C’est là que nous la rebaisâmes tous les trois. Cette façon qu’on avait de passer ...
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