1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°929)


    Datte: 06/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de velours rouge et brodés d’or. Les deux soumis vinrent se prosterner devant eux. La Comtesse se pencha pour attraper la laisse de la femelle et la fit se mettre à genoux, lui autorisant à poser ses fesses sur ses talons, à côté de son fauteuil et lui caressait la tête distraitement en regardant son mari. Celui-ci se leva et se posta devant le soumis pénitent, tapant de la pointe du pied et croisant les bras. - Toi ! (Sa voix était glaciale et sévère.) Tu as osé me faire perdre devant ma femme. Tu vas ressentir mon courroux, je peux te l’assurer ! Le pauvre esclave commençait à trembler, appréhendant sérieusement la colère du Comte. Celui-ci s’éloigna et dès qu’il revint, il fit tomber un coup de fouet cinglant sur le dos du puni, qui ne put retenir un cri, n’ayant pas entendu l’homme revenir et ne s’attendant pas à sentir cet instrument sur sa peau. - Eh bien cabot ! Oublierais-tu les bonnes manières ? Interdiction de pousser le moindre cri, le moindre soupir, animal ! Et il reprit la sanction, fouettant l’esclave d’abord en position prosternée, position qu’il n’avait pas quittée depuis qu’il était entré dans la pièce. Puis il l’attacha à des anneaux pendant du plafond par les poignets, ainsi que les chevilles dans des anneaux fixés au sol. Il tournait autour du pénitent et aucune partie de son corps ne fut épargnée pas même les plus sensibles. La correction était sévère, la lanière du fouet marquait sans relâche la peau, sans pour autant la blesser sérieusement. Le Comte ...
    ... ne se serait pas permis d’abimer un des soumis de Monsieur le Marquis. Mais il voulait que le soumis porte les marques de son courroux un certain temps. Il en avait d’ailleurs informé le Maître des lieux durant le bouchonnage, afin de ne pas commettre de bévues. Il ne s’arrêta qu’au bout d’une demi-heure, lorsque son bras commença réellement à se fatiguer. L’excitation de l’esclave était bien visible car être fouetté ainsi l’avais véritablement mis en forte érection. Le Comte plaça une planche sur le sol et ordonna à l’esclave mâle de s’y tenir à genoux, sur la tranche. Il fit descendre du plafond deux chaines, y attacha ses poignets et fixa les chaînes de manières à ce que les bras soient tendus en arrière et vers le haut autant que possible pour que le soumis puisse tout de même se tenir droit. Il attacha des mini pinces crocodiles à ses tétons, et des poids à ses couilles. La position allait être douloureuse à tenir, mais paradoxalement, l’esclave mêla ne pouvait de nouveau cacher son excitation, et sa queue se tenait bien droite aux yeux du Comte et de la Comtesse, qui ne se génèrent pas pour l’humilier de quelques paroles avant de l’ignorer totalement, pendant qu’ils se tournaient vers la femelle qui attendait toujours au côté du fauteuil de la Comtesse. Et plus le soumis était humilié, plus il bandait durement ! - Bien à toi maintenant, belle petite pouliche ! dit doucement la Comtesse. Je suis fière de toi. J’aime gagner les défis que me lancent mon mari ! (Celui-ci ...
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