1. Mathilde 4


    Datte: 06/07/2019, Catégories: Lesbienne Mature, Partouze / Groupe

    ... demande-t-elle ?- Non je lui réponds, pensant bien qu'elle est chaude à point, c'est toi que je veux boire en me penchant sur sa bouche en tendant mes lèvres.Là, ce fut une expérience fabuleuse, elle était vraiment vorace, elle me dévorait les lèvres et cerise sur le gâteau, elle s'ingéniait à me faire couler sa salive dans la bouche. Voyant les bonnes dispositions me mon hôtesse, je me permis de lui caresser le genou sans que cela entraîne de réaction négative au contraire, je voyais ses genoux s'écarter comme pour m'inviter à une descente aux enfers. En fait j'acceptais l'invitation et commençais à remonter en caressant doucement à l'intérieur de ses cuisses qu'elle avait nue. Oserai-je prétendre que la coquine avait bien envie de sauter le pas ? Et d'avoir une aventure avec moi. En arrivant au niveau de la fourche de ses jambes, surprises, elle n'avait pas mis de sous-vêtement et sa fente était dans un état marécageux avancé, Je sentais malgré tout un léger laissé allé dans la coupe de la toison qu'elle avait abondante et d'un noir de geai, entre-coupé de quelques filaments blancs.- Viens dans ma chambre, on sera mieux à l'aise pour continuer. Tu sais quand vous veniez avec Mathilde, je me roulais dans vos draps une fois que vous étiez partis, j'emplissais mes poumons des parfums que vous aviez laissés.Je la déshabillait et contemplait sa poitrine qui restait relativement ferme, malgré l'âge. Je commençais à la malaxer doucement en approchant ma bouche de ses tétons ...
    ... qu'elle avait ma foi fort développés et je commençais à les sucer avidement.- Tu auras beau faire, tu ne vas pas me tirer de lait, m'avisa Greta, mais continue, j'aime et c'est pas tout les jours que j'ai un beau garçon qui y fait honneur.Simultanément, mon majeur baratinait sa balafre, qui contrairement à Mathilde qui possédait deux jolis petits pains au lait bien ferme, le sexe de Greta était comme deux grosses feuilles de chair qui avaient de la peine à se gonfler de sang. Je en sais pas si c'est le manque d'exercice qui provoquait ceci. Cependant, conformément à mon habitude, j'aimai bien déguster les humeurs intimes de mes amantes. Je ne fus pas décu, son jus était aussi succulent que celui des autres femmes que j'avais déguster, un peu plus épicé peut-être.Finalement, je trouvais qu'il était temps de passer au chose sérieuse, la pénétration du corridor. Je présentais ma pine à l'entrée de son tabernacle et vu l'état détrempé de la chaussée, je glissait mon soc dans sa caverne d'Ali-baba.Comme prévu, c'était très accueillant, je lui relevais bien les jambes pour pouvoir m'enfoncer encore plus profond. Elle geignait à ne plus en finir, quand d'un coup elle se crispa laissant voir qu'elle avait atteint son orgasme.Malgré l'effet du nouveau, je restais ferme et l'idée de me payer de son cul m'a effleuré.- Tu n'as pas de la vaseline des fois, j'ai envie de te prendre par derrière.- Je ne l'ai jamais fait, mais il faut bien une fois le faire pour ne pas finir idiote, non je n'ai ...