Phase d'envol
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
vacances,
hotel,
Masturbation
pénétratio,
prememois,
... gros sous-traitant et prendra toute une journée. Ce sera un vendredi de mai, veille d’un week-end prolongé. Nous y allons à six, Coralie est de la partie, et arrivons le jeudi soir pour démarrer tôt le vendredi. Nous avons encore l’occasion de finaliser la présentation le soir, et prendre un repas convivial, histoire de contribuer au «team building », aspect des choses que les agendas nous avait empêché de faire suffisamment. Notre réunion est un succès, le management espagnol s’engageant à mettre les choses en place plus rapidement que prévu et notre client est satisfait… Coralie a joué un rôle central dans la présentation, en convaincant nos interlocuteurs dans la langue locale. Je suis impressionné et ne manque pas de la féliciter, amenant un peu de rouge sur ses joues. Arrive l’heure de quitter les lieux pour l’aéroport, et on nous prévient que l’aéroport local est en grève, et que notre vol est annulé. Il n’y aura pas de retour possible avant samedi après-midi ou même dimanche… Quatre d’entre nous décident de louer une voiture pour Madrid, dans l’espoir d’y trouver une connexion pour Paris. Je décide de rester en attendant le vol suivant, et Coralie hésite encore entre rester ou rejoindre Madrid avec les autres. Je lui indique que je compte explorer la côte toute proche le lendemain, qu’elle est la bienvenue, mais que je comprendrais très bien qu’elle préfère rentrer au plus tôt. Elle n’aime pas trop les longs trajets en voiture, me dit-elle, et préfère m’accompagner si ...
... cela ne me dérange pas. Nos conjoints prévenus, nous retournons à l’hôtel pour y louer deux chambres pour une ou deux nuits. Nous passons par le centre d’une petite ville toute proche, histoire d’acheter des vêtements plus seyants pour ce demi-week-end en perspective. Il fait encore chaud vers 18 heures, mais décidons d’aller nous promener dans la nature locale. Nous pensions y voir des taureaux et peut-être des oliviers, mais nous sommes tombés sur d’immenses étendues de riz, d’un vert tendre à cette époque de l’année. Nous sommes un peu poussiéreux après la promenade et une douche s’impose avant de se retrouver pour la soirée. Plutôt que reprendre la voiture sans trop savoir ou aller, nous décidons de passer une seconde soirée à l’hôtel et son restaurant où j’avais repéré la veille une série de beaux crus. Coralie semble très détendue, ce qui doit être l’effet de sa très belle prestation de la journée, mais aussi des conditions idéales de la soirée. Elle me parle de ses différentes expériences d’enfance dans tous ces pays, de ce qu’elle a aimé et détesté le plus. J’en arrive à évoquer mes souvenirs d’enfance et de jeunesse, de mes doutes et hésitations, passés et présents. En passant à table, Coralie me demande de bien vouloir lui expliquer le vin, en me disant qu’elle aime ça, même si elle ne supporte pas très bien l’alcool. J’accepte bien entendu, en lui indiquant que je suis intarissable sur le sujet et qu’elle ne doit pas hésiter à me couper si elle en a marre. Cela la ...