Phase d'envol
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
vacances,
hotel,
Masturbation
pénétratio,
prememois,
... tête sous l’eau froide. Elle n’est pas encore capable de marcher. Je la porte sur son lit et ramène une serviette que je place sous sa tête. J’entre ensuite dans ma chambre, à côté de celle de Coralie et j’essaye de me calmer. Une douche ne me fera pas de mal, et j’entends Coralie dans la chambre à côté remettre cœur sur carreau. Moins de vin dans l’estomac ne lui fera pas de mal. Je me couche, et repense à tout cela, en me disant que j’ai peut-être été bien bête de ne pas commencer l’initiation… Une autre occasion de ce type-là ne se représentera sans doute jamais. Mais je pense aussi aux conséquences de tout cela, et tout ce que je pourrais foutre en l’air. J’ai allumé la télévision car je n’arrive pas à dormir. Deux heures ont passé depuis le drame. J’entends frapper à la porte, que je vais ouvrir. Coralie est là, à pieds nus dans un peignoir de l’hôtel, et me demande d’entrer. Elle a l’air beaucoup plus lucide, mais a toujours les yeux pleins de larmes. — André, je vous demande pardon.— Accordé, c’était un moment d’égarement.— Je suis venue vous voir, car je n’ai pas renoncé à mon idée de tout à l’heure. Je pense que vous êtes la seule personne qui puissiez m’aider à sortir du trou.— Ne sois pas ridicule. Je suppose que tu dois bien connaître quelques hommes de ton âge prêts à te rendre ce genre de services…— C’est vrai, mais une aventure avec un jeune serait tromper Matthieu, et je veux continuer avec lui. Ce que je veux c’est apprendre à pouvoir le rendre heureux au ...
... lit. Je n’ai connu que lui et cela ne marche pas. Je vous admire, André, et j’ai connu une période extraordinaire de ma vie avec vous. Vous m’avez appris beaucoup déjà, je vous en prie, aidez-moi encore, je vous promets que cela ne portera pas à conséquence. Elle ouvre le peignoir et se dirige vers moi en pleurant… Le peignoir est par terre et je découvre une lingerie d’adolescente, dans le style Petit-Bateau avec un petit nœud sur la culotte. J’avais décidé que toute cette histoire était ridicule, mais il faut bien avouer que mes dernières défenses étaient tombées. Je prends Coralie dans mes bras, et commence à la caresser sur les épaules et dans le dos. Ses sanglots diminuent, et son corps contre le mien s’apaise… Nous nous sommes couchés, et j’ai commencé à l’embrasser doucement en lui disant que j’allais essayer de la rendre plus heureuse, à condition que cela n’influe pas sur notre vie professionnelle. Je serais trop malheureux de la perdre… Elle se tortille en tous sens, promenant ses mains partout sur moi. — Ne sois pas trop pressée. L’amour c’est comme le vin, il faut pouvoir attendre pour le plaisir.— D’accord Maître, montrez-moi…— Si tu te moques, on ne va pas y arriver… Déshabille-toi.— Non c’est toi qui le fais. J’ai alors retiré ses sous-vêtements lignés beige et blanc, et découvert ses très jolis seins et un pubis abondant. — Peut-être faudrait-il que tu rases ou entretiennes ta forêt…— C’est noté, dit-elle comme si je lui avais donné une instruction.— Montre-moi ...