1. Un dimanche d'aéroport


    Datte: 07/07/2019, Catégories: fhh, Collègues / Travail uniforme, ascenseur, douche, double,

    ... voulions la baiser de tout notre corps, de tout notre être : cela devait s’entendre, se sentir, se voir. Elle le savait mais nous faisions durer l’instant, nous prenions notre temps, gonflés de désir, excités comme deux taureaux. Au bout d’un moment et après un long et intense savonnage pénien, Sorina décida de nous rincer. Cédric nous regarda tous les deux, supposant que cela annonçait que l’on allait passer à la vitesse supérieure. Il la prit alors entre ses mains et la retourna de manière à se trouver collé derrière elle. À ce moment elle montra de l’incertitude ; elle sembla hésiter puis, après quelques secondes, s’adressa à moi qui m’étais déjà approché et recommençais à l’embrasser : — Je… avec deux hommes, j’ai jamais fait, je ne sais pas… me souffla-t-elle dans un long soupir. Je suis en train de perdre la tête, là, avec vous. Cédric répondit pour la taquiner : « Moi aussi, c’est la première fois. » ; elle éclata de rire avec son accent dur mais chantant. Elle se ravisa et nous dit : « Jamais je ne pensais qu’un jour je ferais ça. ». — Mais… comment tu te sens ? Tu aimes ? lui demandai-je. Elle fit oui de la tête, deux fois. — Je me sens bien, là ; j’ai envie de toi, me chuchota-t-elle dans les yeux. Puis elle tourna sa tête et dit à Cédric : — J’ai envie de toi, toi aussi, vous deux. Cédric lui dit : — Nous aussi, on est dingue, là ; on te désire comme des dingues : tu le vois ?— Oui, je vois et je sens ça, soupira-t-elle en fermant les yeux. Je me penchai sur ses ...
    ... seins et me mis à lui sucer ses imposants tétons : ils n’étaient pas très durs, surtout très tendres et doux, comme des muffins, cela me rendait fou de plaisir. Je les pris l’un après l’autre dans ma bouche, ce qui faisait disparaître la moitié du sein à chaque fois, et je passais ma langue autour, dessus ; j’aspirais, je mordillais, je chatouillais. Elle prenait ma tête par moments pour me faire changer de sein ou bien pour revenir à l’autre. Pendant ce temps-là, Cédric lui chuchotait des cochonneries dans l’oreille : — On va te baiser, maintenant, tous les deux ; on va prendre le temps. On va te prendre ensemble, tranquillement ; on va entrer profond en toi et tu vas jouir. Tu vas beaucoup jouir. Et quand tu n’en pourras plus de jouir, on va recommencer. Et tu vas encore jouir. Ces mots crus excitèrent Sorina, qui laissa Cédric frotter son gland contre sa fente, par-derrière. Elle écarta lentement les jambes, et le pénis gonflé, raide et dur disparut derrière son merveilleux cul. Cédric entreprit de mettre un peu de savon entre les fesses de Sorina, qui semblait s’attendre agréablement à la suite. Après quelques tentatives maladroites, infructueuses, dues à nos positions respectives et à l’exiguïté de la douche, il fut visible sur le visage de notre conquête que Cédric était entré en elle. Il ne bougea pas et se contenta de la serrer très fort contre lui ; elle poussa un gémissement long et doux, en ouvrant toute grande sa bouche. J’abandonnai enfin ses tétons et je me mis ...
«12...161718...21»