Une sortie en boîte pas comme les autres
Datte: 07/07/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
inconnu,
boitenuit,
danser,
facial,
Oral
fgode,
double,
fsodo,
init,
... me mis à caresser ses cuisses. Puis je commençai à l’embrasser dans le cou ; elle penchait la tête pour me faciliter la tâche. Mais quand je voulus l’embrasser sur la bouche, elle détourna le visage, mais sans se décoller pour autant. Au bout de plusieurs tentatives infructueuses pour l’embrasser, je commençai à me dire qu’elle n’était là que pour allumer. J’allais arrêter de danser avec elle quand elle se retourna et me pinça les fesses : — Je ne veux pas que tu m’embrasses sur la bouche, mais j’ai envie de danser avec toi, de sentir ton corps contre le mien, ajouta-t-elle avec un sourire malicieux et en regardant mon entrejambe. Alors que je restai interdit, elle ajouta : — Sur la bouche c’est pour mon mari, mais le reste n’est pas défendu. À ces mots, je plaquai à nouveau mon ventre contre le sien et nous recommençâmes à danser. Quand la musique devint trop rapide pour danser collé, j’en profitai pour essayer d’aller plus loin : — On va s’asseoir ?— Si tu veux. Je la suivis sur une banquette. Nous nous assîmes l’un à côté de l’autre, mon bras autour de ses épaules. Je me remis à l’embrasser dans le cou, ma main en profitant pour parcourir son corps. Elle se laissait aller et rapidement, elle posa sa jambe sur ma cuisse, ce qui ouvrait le passage vers son intimité. Je me contentai au début de caresser sa cuisse en surface, puis je glissai ma main sous sa jupe. Je m’aperçus alors qu’elle portait bien des bas, ce qui renforça mon excitation. Quant à elle, elle glissait sa ...
... main sous ma chemise pour me caresser le dos. Au bout d’un moment, mes caresses se firent plus pressantes et je glissai ma main jusqu’à sa culotte. Je sentis le tissu humide et un soubresaut la parcourut quand je touchai son sexe au travers du tissu. Elle me repoussa gentiment. — Non arrête ! Pas ici !— Tu veux qu’on aille où ?— Je t’invite chez moi si tu veux, me répondit-elle avec un regard malicieux.— D’accord, on y va. Nous nous levâmes et quittâmes la boîte, sous le regard amusé des videurs. Dans leur « Bonne fin de soirée ! », je relevai une pointe de malice. Même si c’était la première fois pour moi, je ne devais pas être le premier à ramener une femme plus vieille et délaissée par son mari. Nous décidâmes de nous rendre chez elle à pied ; il faisait beau et ce n’était pas très loin. J’étais toujours aussi excité. Je la tenais par la taille et souvent ma main descendait pour empaumer ses fesses, ce qui ne manquait pas de la faire sourire à chaque fois. Elle aussi avait sa main sur mes hanches, mais ses caresses étaient plus subtiles. Quand je voulus glisser ma main sous sa jupe, elle s’arrêta et me fit face : — Mais arrête un peu ! On dirait un gamin qui découvre un cul pour la première fois !— Je suis tout excité, je n’en peux plus.— Mais tu n’es pas puceau, quand même ?— Non bien sûr. Mais c’est la première fois que je vais coucher avec une femme mariée. Se collant à moi, elle ajouta : — Il faudrait te canaliser un peu, je n’ai pas envie que tu t’effondres au bout de ...