Toi, envie de toi
Datte: 08/07/2019,
Catégories:
fh,
telnet,
amour,
revede,
tutu,
... torse, elles s’aventureront vers d’autres ailleurs. Vers ce toi qui te tortures, vers ce toi qui se tends sous les mouvements de mon bassin. Je sens en toi comme une légère pression et j’aime sentir cette impression. Par petites pressions au début timides puis plus invasives, mes mains et ma bouche langoureusement vont t’ innover et te rénover. Tes sens vont se révolter, tes envies vont te faire perdre pied. Perdre pied comme moi qui viens de glisser entre tes jambes. Mes mains s’acharnent à découvrir, à mettre à nu ce bout de toi. Ce bout de toi qui est tendu et qui se tends de plus de en plus au contact de mes doigts. Mes doigts incestueux, mes doigts curieux qui sous tes yeux explorent et caressent l’organe de ta jouissance. L’organe convoité de bien des femmes, non, d’une femme… MOI. Moi qui maintenant effleure du bout de ma langue ce gland, ton gland rose et blanc. Une ou deux lapées juste comme ça pour goûter puis une autre pour mieux en apprécier la forme, encore une autre pour mieux sentir sa chaleur, ta chaleur. Puis plus goulûment, mais toujours patiemment le laisser pénétrer mes lèvres entrouvertes sans l’y engouffrer. Non, pas l’engouffrer, enfin si, mais pas maintenant. Laisse-moi jouer à ce petit jeu qui m’excite et qui ne te laisse pas de glace. Glace, glacée comme l’étaient mes mains avant que je ne me décide à les réchauffer à tes dépens. Réchauffer, oui, elles se sont réchauffées à présent. Elles palpent lentement tendrement, en délicatesse tes bourses ...
... qui dans un mouvement de bassin, tu m’offres. Et je joue, jeux de mains, jeux de langues, jeux interdits, jeux dangereux, à deux ou seule, non, à deux c’est dix fois mieux, dix fois plus intense et plus chaleureux quand tes mains accompagnent mes mouvements de bouche et de langue. Je t’aspire du bout des lèvres. Je te déguste comme je dégusterai un cornet vanille fraise. J’aspire chaque pépite de chocolat, je goûte et laisse fondre chaque petit morceau de fruit, chaque petit bout de glace qui fond sous ma langue chaude. Non, je t’aspire toi. J’aspire l’énergie qui émane de toi. J’aspire le nectar qui donne la vie. Et t’aspirer ainsi fait vibrer chacune de mes petites cellules. T’aspirer, aller et venir sur ton membre dressé excite et ravive mes instincts de femme fébrile. Brûlante, je suis brûlante de désir. Mon corps et mon âme s’enflamment à chaque bouchée que je déguste. Telle une affamée. Affamée de ta chair, affamée de ton sang. Ce sang chaud qui te brûle les artères en ce moment. Sens-tu cette chaleur qui envahit tes joues, mes joues. Cette chaleur qui envahit chaque parcelle de nos corps frigorifiés jusqu’alors. L’or, or, bouton d’or d’une femme, de la femme que je suis. Petite fleur de paradis, petit bouton de rose qui aimerait te voir venir à lui, qui scintille, qui luit et ruisselle d’un liquide chaud et sensuel. Ruisseau, non petit ruisselet qui s’écoule et inonde les berges d’une intimité cachée et qui recèle de divins plaisirs coquins et malins. Mais pour l’heure ...