1. Le plasir et la peur d'être cocu


    Datte: 10/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou

    ... beau temps nous faisait du bien à tous. J’ai été surpris que Marc quitte le chantier le plus vite possible presque tous les jours. On n’avait quasiment plus l’occasion de prendre notre pot de fin de semaine ! Je le trouvais plus joyeux, presque rayonnant. Je lui ai posé quelques questions, mais il restait évasif et ne nous disait rien de ses activités.Lorsque je rentrais à la maison, Rose était rarement là. Depuis une dizaine d’années, elle n’a plus d’activité professionnelle, mais une myriade d’occupations, avec ses copines ou dans une association pour laquelle elle est bénévole. Je trouvais quand même que depuis quelque temps, elle rentrait de plus en plus tard. Je lui en fis le reproche un soir ou elle rentrait alors qu’il était huit heures passées.Elle ne me répondit pas vraiment, partit prendre sa douche pendant que je préparais le dîner.Quand elle est revenue, je la sentais plongée dans ses réflexions et même carrément absente. Nous avons mangé rapidement et au moment où j’allais allumer la télé pour voir le programme, elle est venue se mettre devant moi et m’a dit : — Jean, il faut qu’on parle. Ou du moins, il faut que je te parle. — Oh, là tu m’inquiètes, qu’est-ce qui se passe ? — Le mois dernier, tu as fait une blague idiote à Marc, ton collègue de chantier. Tu devais lui expliquer et je sais que tu ne l’as pas fait. En fait, Marc m’a appelé et m’a proposé de prendre un pot tous les deux en ville. En discutant, il m’a dit que c’était toi, mon soi-disant « pote ...
    ... », qui lui avais donné mon numéro. J’étais en colère après toi, tu m’avais promis de lui en parler et tu ne l’avais pas fait. Maintenant, ça retombait sur mes épaules et c’est moi qui devais me taper de lui apprendre que tu t’étais foutu de lui ! Sur un mouvement de mauvaise humeur, j’ai accepté son invitation et nous nous sommes retrouvés à la Coupole pour discuter un peu. Il s’est montré d’une gentillesse et d’une drôlerie qui m’ont désarmée. Je n’ai pas eu le courage de lui dire que j’étais ta femme. Lui m’a raconté sa vie, la perte de son épouse, le travail, les amis. Il m’a raconté deux ou trois bourdes de chantier où tu n’es pas toujours à ton avantage. On s’est retrouvés comme ça depuis près d’un mois et c’était très agréable.Sauf que la semaine dernière, en se promenant, on a pris une averse brutale qui nous a trempés jusqu’aux os. Comme il habite juste à côté, je l’ai suivi chez lui pour me sécher la tête et si possible mettre mon pantalon et mon pull dans son sèche-linge.Il avait une idée derrière la tête, bien sûr, et je m’en doutais bien, mais j’étais sûre de ne prendre aucun risque. Il a été gentil, prévenant, puis pressant et je me suis rendu compte qu’il me plaisait. J’ai fait l’amour avec lui. Il a su me faire tout oublier. Pourtant, le véritable problème c’est que je crois qu’il est amoureux de moi et aujourd’hui, il m’a demandé de venir vivre avec lui.Rose semblait prête à se mettre à pleurer. Elle serrait ses bras croisés devant elle et semblait toute ...
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