1. Y a-t-il une limite au plaisir ? (6)


    Datte: 10/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... voilà le résultat <3 » La photo du sexe d’Annie est là, il est beau, cette fente rose et épilée, quelques poils au sommet. Les lèvres sont bien gonflées et le clitoris apparent ce qui dévoile l’excitation de la photographiée, le sexe est humide, le méat vaginal ouvert. Thomas l’approche comme pour le sentir ou le lécher. Sa main gauche saisit machinalement son sexe. Quelques mouvements suffisent, le voilà retourné par une montée puissante, il crie, fixe ce sexe et jouit sur son ventre, jusqu’à son visage, du sperme coule sur son menton. Totalement vide et en mode automatique il se photographie dans un selfie, on le voit couvert de sperme. La photographie est envoyée à Annie accompagnée d’un texte : Thomas : Merci maîtresse pour le bonheur que vous me donnez, j’ai joui comme jamais grâce à vous, humilié par votre pouvoir, subjugué par votre beauté. Il efface la photo et se ressaisit. Ses pensées reviennent. Elle l’a manipulé, seul son sexe le libère. Une érection revient, impossible de retrouver la photo, il veut la revoir, se masturber à nouveau. Il lui écrit : Thomas : Maîtresse, je vous en prie, renvoyez-moi votre somptueuse fleur. Annie : Connecte-toi à Skype Thomas allume son ordinateur, s’habille et se connecte, quelques minutes et la sonnerie de l’application retentit... Elle est là, en face de lui, son magnifique visage, son regard envoûtant et son sourire radieux. Elle voit son homme, le visage fatigué, habillé d’un vieux tee-shirt et d’un pantalon de sport en coton. ...
    ... Il est beau son soumis, le fait qu’il se soit habillé après la photo lui tire un sourire. La prise de contact est courte, Annie meurt d’envie de savoir ce qu’il a vécu. « Raconte-moi ton expérience ! — C’était terrible, le désir est monté en moi toute la semaine, je n’ai arrêté d’y penser la torture était horrible... son seul équivalent a été le bonheur de la libération. Et maintenant je veux ton sexe pour recommencer, immédiatement, j’en suis accro. — Une belle addiction, je le possède et je te possède, j’aime ça. Et toi, tu me détestes ou tu me désires ? — Hier je t’ai détesté, aujourd’hui je te désire. Je te veux, je veux t’appartenir. — Moi aussi, j’ai pensé à toi toute la semaine et je pense avoir subi la torture à ma façon, te voir dans cette folie-là et ne rien faire... j’ai failli craquer dès mercredi !» La conversation se poursuit, ils parlent de l’hypnose, de tout, de rien, de leurs semaines, de leur prochaine rencontre. Une heure s’écoule rapidement. « Veux-tu que j’essaie de t’hypnotiser à distance ? — Ai-je encore le choix ? — Tu l’as toujours eu ! — OK, je fais quoi ? La peur se mêle au désir dans ses yeux. — Rien ; as-tu une idée à me soumettre ? Un fantasme désiré ? Nous pourrions le tester, s’amuser. — Je ne sais pas, c’est gênant... j’aimerais subir une humiliation sexuelle personnelle, me sentir soumis à toi, sans ta présence, une sorte de nouveau fétichisme dont je te saurai responsable. — Aaah, il me vient une idée... excitante cette idée, tu veux que je ...
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