1. Eux Aussi


    Datte: 10/07/2019, Catégories: Lesbienne

    ... talents qu'elle m'avait cachés. - Juan? Impossible, il est en tournage. Nous nous sommes finalement intéressées à trois beaux mâles aux profils aquilains. - Je vous les fais descendre. Elle a ordonné dans l'interphone de sa voix cassée par la fumée : - Pablo, Miguel, Marcello, des clientes au salon. Ils se sont approchés en se contorsionnant, comme des gogo-boys sur des tables de bar à quelques centimètres des visages des clientes. Ils nous ont offert de tâter leurs biceps, leurs abdos et leurs fesses musclées. En habituée des lieux, Sandra a baissé le string de Marcello. Elle s'est emparée de son sexe dressé et s'est mise à pétrir ses grosses couilles épilées, percées de deux anneaux dorés. Marcello bandait comme un âne, et la main de Sandra pleine de salive le branlait avec insistance. Sandra cherchait à tester sa capacité à bander sans jouir. Elle insistait sur la couronne à la base du gland, pressait l'arrière du méat, plongeait un regard hautain d'acheteuse d'esclave dans celui de Marcello qui prenait plaisir à la manœuvre mais conservait un contrôle parfait de son érection. J'ai fait de même avec Marco. J'ai glissé mes doigts jusqu'à l'arrière de ses couilles pour lui masser la prostate. J'ai poussé mon exploration jusqu'à l'orée de son cul. Sans ménagements, j'y ai enfoncé mes grands ongles. Marco faisait mine d'y prendre du plaisir, et sans crier gare, il a serré ses fesses d'acier en éclatant de rire. J'ai cru qu'il allait me casser les doigts. Pablo n'était pas ...
    ... épilé comme les deux autres. Un duvet blond recouvrait ses fortes cuisses bronzées, son ventre et ses fesses. Un charmant buisson cuivré masquait la base de son sexe. A nous voir tester les deux autres, il bandait, impatient d'éprouver nos vigoureuses caresses. Nous avons pris notre temps. Le champagne nous montait à la tête ainsi que le parfum musqué de l'huile dont nos mâles s'étaient imprégnés. J'avais un faible pour Pablo et sa blondeur qui tirait sur le roux. Il me faisait rêver de soleil et de plages désertes. Je l'ai longuement masturbé avec tendresse, sans chercher à l'éprouver. Il m'a susurré : -- Doucement chérie, ta main est trop cool. Prenez moi. On baisera comme des dieux, tu verras comme elle est bonnarde ma bite au fond de ton ventre et de ton cul. J'étais chaude comme rarement. Je me pressais le bas-ventre à mesure que je branlais Pablo. J'ai joui sous son regard amusé, alors qu'il restait maître de ses réflexes sexuels. Sandra et Madame Claude me regardaient avec surprise. Je les avais oubliées. - Myriam, on va le prendre, "ton" Pablo. Il s'est éloigné, me laissant toute étourdie de mon bel orgasme. Madame Claude nous montré un contrat imprimé en petits caractères dont Sandra a signé chaque paragraphe. Une fois dans la rue : -- Myriam, t'as pas le droit d'être amoureuse. Un mâle, ça sert quand on est lassées des godes. C'est la règle du club. (Quelle hypocrite! Il fallait voir comme ça lui plaisait de branler leurs grosses bites écarlates et baveuses. Sa règle ...
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