L'heure de la revanche (2)
Datte: 10/07/2019,
Catégories:
Erotique,
Un mois s’était écoulé depuis que Jean-Jacques avait révélé à Madame Constant qu’il connaissait les malversations dont elle s’était rendue coupable et qui l’avait obligé à se déshabiller devant lui dans son beau bureau et l’avait planté là. Depuis ils se voyaient régulièrement dans l’entreprise sans s’adresser la parole, Madame Constant faisant cependant tout pour l’éviter, elle ne lui donnait plus de travail et lui laissait une paix royale. Jean-Jacques jubilait, il la savait à sa merci et réfléchissait constamment aux prochaines humiliations qu’il lui ferait subir… L’occasion lui sembla excellente ce matin quand il entendit sa chef de service rabrouer violemment la petite comptable du bureau d’à côté. Cette dernière, Françoise, une petite blonde rondelette d’une trentaine d’années n’osait pas réagir devant l’autorité naturelle et la prestance de Catherine Constant. Il se leva consoler sa collègue et lui glissa à l’oreille qu’elle aurait bientôt une très bonne surprise. De retour à son bureau, il prit son téléphone et composa le numéro de sa chef. Reconnaissant son numéro de poste, Catherine décrocha immédiatement, mais ne prononça pas un mot. Ces derniers jours, elle pensait régulièrement à l’horrible scène qu’elle avait vécu dans son bureau et elle s’en voulait de n’avoir pas été plus prudente, elle se savait à la merci de ce Jean-Jacques qui la dégoutait avec sa petite taille et son visage ingrat. Pourtant, avec le temps et le soin qu’elle avait pris à ne plus le ...
... croisait, elle avait espéré qu’il se contenterait de cette humiliation et avait doucement repris confiance. Maintenant son téléphone avait retenti et elle restait sans voix, gagnée par la panique… Prenant lui aussi son temps Jean-Jacques prit la parole : — Bonjour Catherine, comment allez-vous ce matin ? — Bien merci Jean-Jacques et vous ? — Bien, chère Catherine, dorénavant vous vous adresserez à moi en disant Monsieur ! Maintenant c’est moi qui vous appel par votre prénom, vous avez déjà oubliée… — Oui c’est entendu, Monsieur — Voilà qui est mieux, j’ai beaucoup pensé à vous depuis notre dernière entrevue, je suis que vous avez aimé me montrer vos gros seins et votre petite toison ! D’un ton outré, Catherine répliqua : — Mais pas du tout vous me dégouter ! Cette réponse spontanée lui avait échappé et elle douta qu’elle ne tarderait pas à le regretter D’un ton mauvais Jean-Jacques lui répondit en effet : — Très bien, vous méritez une autre leçon, je vous rejoins dans votre bureau dans cinq minutes et je vous veux totalement nue à mon arrivée ! — Non, vous ne pouvez pas faire ça ! Jean-Jacques ne dit rien et raccrocha, Madame Constant resta interdite, ses pensées se bousculer dans sa tête, que faire ? Obéir ? S’enfermer ? Quitter la société ? Elle se sentait piégée, perdue… Elle était encore plongée dans ses réflexions, lorsque sa porte s’ouvrit et que Jean-Jacques pénétra dans son bureau, il s’avança vers elle, la gifla et lui cria : à poil, je pensais avoir été clair !! ...