1. Lala, ma belle-mère


    Datte: 11/07/2019, Catégories: fh, fplusag, massage, pénétratio, extraconj,

    ... nuit. On se lève très tard, on déjeune. Il fait très chaud, je me mets en tenue légère. Lala dit : — Tu es très belle et mon fils qui te laisse toute seule les nuits, il gâche votre jeunesse à tous les deux. Il est comme son père, sa carrière militaire avant tout.— Il va bientôt revenir et on rattrapera le temps perdu.— Tout ce qui est perdu est perdu, je sais de quoi je parle. Elle doit être en gros manque et veut se servir de moi, la femme à son fils, pour se faire baiser. Pauvre Sidi, ta femme et ta belle-fille vont se faire baiser par ton ouvrier sous ton toit. En fin d’après-midi, on va se promener. Je m’habille avec une jupe en bas des genoux, un pull fin décolleté. Je me maquille. Je montre bien mes seins pour voir ce qu’elle va me dire. Je sors, elle me regarde : — Tu es magnifique ! Elle me tire mon pull vers derrière et on voit un peu mes seins. Elle est aussi s’est faite belle, prête à tout. On se promène longtemps et elle me dit : — On va à l’étable. L’ouvrier nous voit, vient vers nous, nous salue avec respect mais surpris par notre tenue. Lala dit : — Ne viens pas trop tard ce soir et donne beaucoup à manger aux bêtes. Elle veut m’offrir à lui, ou c’est pour elle. Je vais essayer de la piéger. On se met à table et au bout d’un moment, je fais semblant d’être fatiguée. — Lala, je suis pas bien, je suis morte. Je vais aller dans ma chambre.— Va te reposer, je viendrais te voir ma fille. Je marche doucement et en sortant, je prends la clé. Je rentre dans mon lit ...
    ... et je fais la morte. Au bout d’un très long moment, ma porte s’ouvre : — Tu vas bien ? Je ne réponds pas, elle s’approche : — Ça va ? Je ne réponds pas, elle me secoue, je ne bouge pas. Elle ferme la porte doucement. J’attends assez longtemps et je me lève. Je vais et j’ouvre la porte, tout est noir mais j’entends en Kabyle — Ernout, ernout, abouchille, abouchille heunrouyide. (Donne-moi, donne-moi ta verge, enfonce-la plus loin, baise-moi.) Elle est vraiment en manque, je ressors doucement, contente. Je pourrais baiser comme je veux, où je veux. Je vais la laisser m’offrir et me regarder me faire baiser et nous baiser toutes les deux ensemble. Je retourne dans mon lit et je m’endors. J’entends la porte qui s’ouvre, elle me secoue, j’ouvre les yeux. — Tu vas bien ? J’étais inquiète, j’arrivais pas dormir. Avec tout ce qu’elle a pris, elle risquait pas de dormir ! Le lendemain, je ne me lève pas, je reste dans mon lit. Lala vient me voir : — Ça va ?— Pas trop bien, j’ai la tête qui tourne, je ne tiens pas debout.— J’ai bien dormi, ton massage m’a fait beaucoup de bien. C’est plus la grosse verge qui lui a fait du bien. — Repose-toi, je t’amène le déjeuner. Je passe toute la matinée dans mon lit pour voir où elle peut aller. Je me lève vers midi et je marche doucement, je pousse la porte. Elle est toujours en train de se faire baiser. Elle hurle comme une folle. Je m’avance et je les regarde. Elle était empalée sur lui, une vraie pute dans son lit conjugal. Elle aime le sexe, la ...