1. Christine VI : Midlife Crisis (7)


    Datte: 12/07/2019, Catégories: Hétéro

    Durant les trois jours qui suivent cette décision de pause entre nous, je ressens le besoin de m’aérer la tête. Aussi, je pars skier avec mon fils. L’air de la montagne m’aide à assumer. Christine sait que je cogite mais elle ne me dit rien. C’est mieux ainsi. Le dimanche soir, je me sens déjà mieux avec l’idée de la pause, de se perdre pour mieux se retrouver. Mardi matin, j’écris à Alina. Je n’avais pas répondu à ses messages depuis le jeudi précédent. Je lui dis que je dois lui parler. Elle me propose de passer chez elle en fin de journée. Je refuse. Je lui indique un restaurant en ville et lui dis de m’y retrouver à 19h30. J’arrive à 19h20. J’ai réservé une table un peu isolée au fond du restaurant afin que nous puissions discuter librement. Même pas sûr qu’Alina restera manger avec ce que je dois lui annoncer. Quand je la vois entrer dans l’établissement, je me rappelle immédiatement que les femmes ont un sixième sens. La longueur de son manteau, à mi-cuisses, dévoilent ses jambes gainées de résilles noires. Elle s’approche, je me lève. Nous nous faisons la bise malgré que nous soyons seuls dans cette partie du restaurant. Les banalités d’usage sont le parfait prétexte pour Alina pour retirer son manteau de façon la plus naturelle qui soit. Mais sa tenue m’oblige à penser qu’elle a organisé son arrivée. Son haut est en apparence tout simple, un top stretch à manches longues, mais Alina n’a pas mis de soutien-gorge. Si ses seins sont comme moulés au travers du tissu, que ...
    ... dire de ses tétons… Avec une minijupe plissée noire, Alina vient de calmer ma volonté de lui annoncer au plus vite la nouvelle. Nous nous installons et commençons à papoter. Je lui dis qu’elle est très sexy. Elle répond : — J’ai osé, tu as vu ? — 22 millimètres. Oui, je vois bien. Elle rit. — J’ai acheté ce body samedi en pensant à toi. Tu m’as offert l’occasion de le porter dès ce soir. — Il est magnifique. — J’ai quand même hésité à l’acheter parce que c’est une simple ficelle qui passe derrière et je n’ai plus l’habitude. Elle rit à nouveau. J’ai très chaud et le serveur amène les cartes au bon moment. Nous commandons les boissons et lorsqu’il revient, nous avons fait notre choix. Pour l’entrée, je choisis le buffet de salade et à ma grande surprise, Alina m’accompagne. Nous nous levons et nous dirigeons vers le buffet, au milieu de la salle principale et des autres convives. J’ai l’impression que l’on ne voit que les deux gros bouts d’Alina qui semblent vouloir déchirer le tissu. Là, et à table, je dois faire des efforts surhumains pour ne pas laisser mon regard scotché dessus. J’attends finalement le café pour lui dire : — Alina, je t’ai invitée pour te dire que j’ai un ultimatum sur le dos. Christine sait. Alina sourit étrangement. — Je m’attendais à ça. Et tu as fait ton choix et tu vas me dire qu’on doit arrêter. — Exactement. — Je sais quelle conséquence aura cette décision : tout à l’heure, quand nous nous quitterons, ce ne sera pas un "au revoir", mais un "adieu". ...
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