Drôle de soirée
Datte: 12/07/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
2couples,
complexe,
BDSM / Fétichisme
double,
initfh,
... sur mes genoux. J’en profite pour l’entourer de mon bras dans une position visiblement amoureuse. Je glisse ma bouche dans son cou, remonte en la parcourant de bisous légers et lui murmure à l’oreille : — Ça va être simple, se sont des ploucs. Elle rit comme si je l’avais chatouillée par mes baisers légers. Sylviane demande comment nous nous sommes rencontrés. Je jette un œil à Lisa et lui dis : — Raconte, ma chérie. Elle se lance : — Ben, c’est tout bête. Nous nous sommes rencontrés au supermarché du coin. Nous faisions tous les deux nos courses et Vincent m’a dragué gentiment. Je me suis laissé faire, et puis nous avons partagé un dîner.— C’est tout ? dit Sylviane d’un air dégoûté, si banal que ça ? Je décide de reprendre la main. — Lisa est un peu timide, vous le savez, et du coup elle a tendance à minimiser les choses. La scène est un peu plus complexe qu’elle ne l’a décrite. Nous étions, en effet, au supermarché en train de faire nos courses, lorsque je l’ai aperçue entre les rayons. À partir de ce moment-là j’étais plus concentré sur elle que sur mes achats. Sa silhouette élancée, ses petits seins si fermes, ses fesses magnifiques, surtout lorsqu’elle se penchait au-dessus des surgelés. Tout en décrivant la scène je regarde régulièrement Lisa qui est de plus en plus rouge. Ma main caresse sa hanche lentement, s’insinuant maintenant sous son chemiser sage. — Je l’ai abordée, j’ai pris la température un moment. Je sentais la timidité et la froideur, mais surtout un ...
... tempérament bien plus fougueux, caché dessous.— Un tempérament fougueux, chez Lisa ! Ah ben ça m’étonnerait, lance Sylviane.— C’est que vous ne la connaissez pas comme je la connais. Vous savez, je suis photographe et j’ai l’habitude de regarder les gens vraiment, pas seulement les apparences, qui ne sont souvent que des déguisements, des barrières. En ce qui concerne Lisa, il est évident que sa timidité l’empêchait d’exprimer ses envies, sa vraie personnalité, qu’elle cache sous des habits stricts et classiques. Mais elle a la chance d’avoir un corps de rêve ce qui a permis qu’elle attire mon attention malgré ses choix vestimentaires. Sylviane semble en fureur contenue. Elle veut s’attaquer à Lisa. Elle a du mal à admettre que celle-ci puisse avoir séduit un homme comme moi, qui lui semble tout à coup bien plus intéressant que son Luc, assis mollement à côté d’elle et ne captant pas grand-chose de nos échanges. C’est elle qui reprend : — Et vous qui êtes photographe, qui voyez des mannequins toute la journée, vous avez été séduit par Lisa, ben là il faudra m’expliquer !— Vous savez, Sylviane, dis-je en souriant franchement, il ne faut pas croire tout ce que vous voyez sur les photos de pub et dans les magazines. Les modèles ne sont que des objets et traités comme tels, d’ailleurs. Elles ne sont pas humaines, elles ne servent que de porte-manteau. C’est pour cela qu’on leur demande de faire la gueule quand elles défilent, pour ne pas attirer l’attention sur elles, mais sur les ...