La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 642)
Datte: 12/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... des cannes à pêche pour détecter la présence de touches. Il pose ses mains sur mes seins puis en choisit un qu’il masse en insistant sur le téton. Il prend un grelot sur le plateau, il le fait tinter pour les fidèles. Il le presse entre son index et son majeur. La pince s’écarte et pendant qu’il le fixe à mes tétons il tinte. Je sens le serrage lent et précis sur mon téton. Je retiens mon souffle, la douleur du pincement est forte, il recommence, me masse l’autre sein, pince des ses doigts le tétons, l’excite, prend un grelot, le fait sonner en le montrant aux fidèles puis le pose sur mon deuxième sein. La même douleur me saisie, je me cambre en retenant ma respiration. Il sent que je souffre, il me masse le ventre d’un mouvement circulaire annonçant probablement aux invités assis qu’il va s’occuper de cette partie de mon corps. Il fait quelques pas en arrière, un deuxième esclave s’approche et lui tend une poignée d’orties, il la saisit, revient vers moi puis la pose sur ma poitrine, les piquants me font réagir, j’essaie de me dérober, les grelots teintent. Il continue à me caresser les seins avec puis il poursuit sur le ventre où il dépose les orties à plat, sur mon nombril. Celles-ci m’offrent un vêtement urticant, qui dans un premier temps me pique puis la démangeaison s’estompe tout doucement. Il saisit alors un cierge allumé sur un bougeoir. Il commence par faire le tour de mon corps avec puis le passe au dessus de mon visage de ma poitrine en prenant soin que la cire ...
... ne tombe pas sur mon corps il se déplace et se met debout entre mes jambes, il lève le cierge enflammé pour le montrer au public puis le descend au niveau de mon clitoris, la chaleur se fait de plus en plus forte, il le laisse une bonne minute réchauffer mon anatomie. Ensuite il approche son visage le souffle et le retourne. Il présente ce cierge devant mon anus ainsi offert et sans prévenir me sodomise avec directement mais doucement, très doucement mais sans aucune préparation. La pénétration me fait alors mal, il poursuit l’enfoncement, je souffre, je grimace et laisse échapper un cri de douleur. Alors pour me détendre il me masse le clitoris, retire le cierge et l’enfonce à nouveau, toujours en douceur, il fait quelques allés et venus avec et me le laisse dans l’anus. Je commence à avoir froid, je devine que la suite va être de la même veine. Il se retire de l’autel et se met derrière, face aux invités, il fait teinter une cloche. Une personne se lève et approche. Son visage est caché par un masque un long manteau de fourrure couvre son corps. En passant près d’un esclave elle reçoit un objet, je ne perçois pas de quoi il s’agit, je m’inquiète. La personne qui doit être une femme dominante comme l’indique ses mains fines aux long doigts se met face à l’assemblée. Elle retire les orties sur mon ventre, pose quatre petits disques métalliques, deux de chaque côté de mon nombril. Les disques sont enduits d’un gel qui leur évite de glisser. Le Maître approche un boîtier d’où ...