Mère et fils: une histoire d'amour. (26)
Datte: 13/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... train de perdre le grand amour de sa vie, maman, à cause du lien très intime qui ne peut être partagé que par des sœurs aimantes et pour moi, parce que je voyais toutes les femmes les plus importantes de ma vie souffrir et il n’y avait rien que je puisse faire contre cette saloperie de cancer. Pour la première fois dans ma vie, je comprenais le désespoir de ce sentir impuissant. Martine était complétement dévastée, écrasée de chagrin, quand elle a perdu lentement son conjoint, mais elle n’a jamais été aussi tendre et aimante. Malgré le fardeau de la perte éminente de sa bien-aimée elle à tout fait afin que les derniers moments de Lilly sur Terre soit aussi paisible qu’elle pouvait. À la fin, Martine était à ses côtés, recroquevillée à côté d’elle, caressant doucement son front marqué par la douleur, lui faisant savoir qu’elle n’était pas seule, lui chuchotant qu’elle était aimée et entourée de sa famille. Vers la fin, tante Lilly, au-delà de sa douleur nous a dit qu’elle nous aimait en murmurant au revoir à chacun de nous et elle nous a embrassés pour la ...
... dernière fois. Je n’ai jamais demandé ce qu’elle a dit aux plus jeunes ou à maman ou à Martine. Je sais ce que cela signifie pour eux seuls d’honorer sa mémoire en se rappelant ses derniers mots. Pour moi, tante Lilly avec un faible sourire m’a tiré vers elle pour m’embrasser doucement avec ses lèvres sèches et gercées avant de murmurer à mon oreille et me dire. — Prend bien soin de notre famille Dany. Ils sont sous ta responsabilité maintenant. Je compte sur toi pour prendre soin de ma Martine, de Tommy et Pauline. Et continue d’aimer ta mère comme jamais auparavant. Je t’aime, Dany. J’en avais les larmes aux yeux, la gorge nouée, et j’ai eu du mal à lui répondre. — Je t’aime aussi, Lilly. Pendant un moment, la douleur a disparue de ses yeux, et j’ai vu une étincelle dans ses yeux comme quand elle jouait avec moi. Elle m’a tiré vers elle et elle a ajouté. — J’ai oublié…Tu es un sacré baiseur mon neveu ! Pour çà aussi, je l’aimais. Même sous sa douleur et sa souffrance, elle pouvait encore me faire rire et je vais chérir ses derniers mots pour le reste de ma vie.