Ma sœur Faten. (3)
Datte: 14/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sur ma peau, je me savonnais et soudain, l’idée de me branler me vint à l’esprit. Je pris mon sexe dans la main, je le regardai et tout naturellement, je le savonnai. Il commença à bander et pourquoi pas une masturbation pour calmer mon ardeur et m’éviter le pire. Au moment d’éjaculer, j’entendis un bruit sourd dans le couloir, au début, ça ne me disait rien, puis l’idée qu’elle était derrière la porte me fit rougir de honte. Je me suis retourné vers le mur et si elle m’a vu me branler ? Et merde, je m’en fous, qu’elle aille au diable. Après une bonne douche, je me rendis à ma place au salon, mais cette fois, je mis en marche la télévision. Je zappais, toutes les chaînes, pas plus d’une vingtaine, étaient branchées religion et cela, malgré moi. Quand elle vint me rejoindre, j’en eus le souffle coupé, elle était vêtue d’un short cycliste très moulant et un joli chemisier, à moitié déboutonné. Ses longs cheveux, le sourire, bien qu’elle ne fût pas maquillée, mais elle était très belle. Elle s’avança vers moi, tandis que moi, ma salive qui n’arrivait pas à passer à travers ma gorge. Et c’est surtout son sourire qui ne laisserait pas un homme calme. Juste au milieu de la pièce, on a entendu une clef tourner dans la serrure de la porte. En une fraction de seconde, elle n’était plus là. À ce moment, on entendit quelqu’un frapper à la porte. Je me suis levé pour ouvrir, c’était son mari. Il n’avait pas encore pénétré totalement dans l’appartement que je l’avais vu regarder ...
... derrière moi. Je me retournai, elle était là, vêtue d’une robe très longue, où rien ne filtrait de sa peau, des pieds aux mains et un long foulard qui lui cachait la tête et la poitrine. Ce n’était plus la même femme que tout à l’heure. Enfin, je suis retourné à ma place et je ne l’ai revu qu’une demi-heure plus tard. Il me raconta depuis son départ et surtout, surtout, la conférence... L’orateur, on aurait dit qu’il avait connu un prophète. Je ne l’écoutais que d’une oreille. Ma sœur, qui était là, écoutait les oreilles grandes ouvertes. Enfin, me disant qu’il était fatigué, il prit congé et il est parti dormir, sa femme également. C’était un bon débarras. Le matin, j’ai pris mes cliques et mes claques et je suis retourné à la base, tout en oubliant ce passage de la vie. Après 45 jours de pénible travail et dans le bus qui me ramenait de l’aéroport vers ma ville, de l’autoroute, on distingue les lumières de la ville où elle habite que je me suis souvenu de son existence. Je me demandai comment elle allait et qu’est-ce qui se serait passé cette nuit-là, si son mari n’était pas arrivé au bon moment, peut-être rien ? Sa tenue, ce soir-là, sûrement que son mari lui interdit tout, alors elle voulait porter des trucs devant moi sans aucune arrière-pensée, parce qu’elle ne pouvait le faire devant un étranger sans passer sur son corps. Se rappeler sa jeunesse ou plutôt, son célibat. Le fait de penser à elle m’a fait oublier le long trajet et ses souffrances. Je suis arrivé chez moi vers ...