Ne compte pas sur moi
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
totalsexe,
extraconj,
... nouvelles pour moi. Pourquoi ne pas m’exhiber moi aussi ? J’ai soulevé les fesses et j’ai, avec un tremblement, fait descendre mon slip doucement le long de mes jambes. De m’être exposée ainsi à la vue de tout le monde me procurait des sensations inconnues. Le compas de mes jambes largement écarté, j’ai fourré deux doigts dans ma foufoune en feu Je geignais maintenant sans aucune pudeur. Allais-je être la mire de quelque obsédé ? Allait-on venir admirer de plus près mes lèvres engorgées de sang ? J’ai bu une longue rasade de mon whisky. Personne ne semblait m’avoir remarquée. Seul un souffle d’air frais effleurait délicieusement mon minou exposé. Soudain une voix familière s’est fait entendre. Celle de mon cavalier, un brin moqueur. Il était face à moi presque nu, vêtu seulement d’un caleçon moulant et reluquant sans vergogne mon intimité ouvertement exposée. Prestement, j’ai baissé ma jupe sur mes cuisses, rouge de honte et de colère. — Mais pourquoi cacher un si charmant trésor ? Il n’y a pas de mal à se faire plaisir me dit-il. Je n’ai pas répondu, décidée à l’ignorer. — Le spectacle dans la salle est excitant, n’est-ce pas ? Silence de ma part. — Vous pouvez continuer à vous caresser, vous savez. Toujours muette ! — Ça ne vous dérange pas si je me masturbe près de vous ? Le spectacle devant nous et votre présence m’affolent.— Vous êtes libre de faire comme il vous semble. Du coin de l’œil, j’ai vu qu’il avait baissé son caleçon et que sa main allait et venait sur son ...
... sexe tendu. Un beau spécimen de mâle. Tout en muscles avec une merveilleuse bite longue, épaisse et rigide. Mon cœur s’est mis à battre plus fort. Un trouble exquis a envahi mon corps. Je désirais l’ignorer, mais une attraction irrésistible me poussait à fixer la tige dressée. D’autant qu’insensiblement, il s’était rapproché de moi. Comme j’étais assise et qu’il demeurait debout, son membre se situait pratiquement à la hauteur de mon visage. Une trentaine de centimètres le séparait de mes lèvres tant il s’était rapproché. Il a ordonné : — Suce-moi ! J’ai fait mine de ne pas entendre, tout en détournant ma tête. C’est alors que j’ai remarqué qu’une jeune femme nous observait. Nos regards se sont croisés. Elle m’a souri puis a passé sa langue sur ses lèvres comme pour me dire ;Lèche-la. Le gland congestionné du coquin effleurait presque mes lèvres. Il me tentait, le salaud. Mes yeux de sont portés vers ma conseillère improvisée et j’ai distinctement lu comme une injection : >i>Suce-la. Finies les fermes résolutions ! Je me suis penchée et je l’ai prise en bouche. Elle était bonne ! Longue, épaisse, rigide. Elle avait un bon goût de mâle. Elle emplissait bien ma gorge. Avant mon mariage j’en avais goûté quelques-unes, mais celle-là me semblait particulièrement agréable. Je l’avalai, la léchai, la mordillai, me l’enfournai jusqu’à la garde, les yeux clos pour mieux en apprécier le velouté. Il geignait, je haletais. Il l’enfonçait au plus profond de mon palais jusqu’à m’étouffer. Je ...