brother'n sister (1)
Datte: 14/07/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Moi, Salomé, du haut de mes 18 ans, je m’apprêtais à franchir ce cap. Je dormais. Enfin, j’étais en train avant que mon portable ne se mette à vibrer. Pour être honnête, même si ce matin, on était dimanche, je n’avais pas pu m’empêcher de mettre le réveil la veille au soir. Je l’avais réglé pour qu’il vibre à l’heure voulue, et là voilà, cette heure voulue. Mon portable continuant de vibrer, je fis attention à ce que personne dans la maison ne l’ait entendu, je n’avais pas envie que mes parents me voient faire ça. Il sonnait depuis vingt secondes, pas de bruit suspect aux alentours, je me lançai, impatiente. Je baissai mon bas de pyjama et posai délicatement mon joujou sur mes lèvres, celles du bas. Je ressentis immédiatement une décharge électrique dans tout le corps, c’était tellement bon. Je continuai pendant quelques minutes, le temps de laisser à mon corps le temps de s’exciter. Je le fis tourner autour de mon clitoris tout en me pinçant les tétons, déjà durcis par mon plaisir. J’attendis un peu et, me sentant prête, enfonçai de quelques millimètres mon petit joujou improvisé dans ma fente. Je me retins de hurler. Le plaisir était tellement intense, je croyais être en train de devenir accro. Cela faisait six minutes que je me masturbais avec mon portable, il était grand temps de passer aux choses sérieuses. Je léchai les doigts de ma main et les fourrai dans mon vagin rose, dégoulinant de cyprine, et commençai les gestes de va-et-vient. C’était tellement bon que j’en ...
... avais envie de hurler de plaisir, mais je ne pouvais pas, à moins de vouloir alerter tous les voisins. Ce serait probablement la honte. J’imagine déjà ce qu’ils se raconteraient : « Hé, t’as vu, la fille des voisins, à 18 ans, elle se masturbe comme une folle dans ses draps. » « Ouais, j’ai entendu ça, cette petite sauvage, à cette âge, jouer aux putes pour assourdir ses voisins, il faut faire vraiment être déranger ! » Mes voisins, un couple d’une cinquantaine d’années, ne m’aimaient pas beaucoup, je ne savais pas pourquoi, j’avais l’impression qu’ils lisaient en moins comme dans un livre et je n’aimais pas ça, mais alors pas ça du tout. Pour la deuxième fois, je refoulai un hurlement qui m’aurait trahi. Pour éviter de courir le moindre risque, je retirai ma petite culotte rose, je la mis en boule et je la fourrai dans ma bouche pour atténuer le son. J’en profitai d’ailleurs pour goûter au succulent jus tout droit sorti de chez bibi qui me fit frétiller les papilles. Je continuai comme ça pendant une bonne dizaine de minutes jusqu’à ce que mon corps soit à bout. Mes muscles se contractèrent, ma respiration s’arrêta, mes fesses se cambrèrent et mes jambes s’écartèrent naturellement, la position parfaite pour n’importe quel voyeur. J’éjaculai comme jamais, tout le plaisir accumulé se libérant par le passage étroit sous la forme d’un liquide que je ne pus contenir, le regardant s’étaler sur les draps. Je me retrouvai alors allongée, sur mon lit, ahanant, en sueur, mon index et mon ...