1. Pute façonnée


    Datte: 15/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Les choses sont venues naturellement. Notre mariage perdure depuis vingt ans. Il est dur de se renouveler ou du moins d'entretenir la flamme. Au niveau sexe le travail est effectué. Mon mari et moi aimons tant les cochonneries au pieu. Nous avons grandi ensemble et nous y sommes épanouis. J'ai notamment appris à être garce. A accepter mes chairs et mes rondeurs. Au départ je trouvais singulier certaines des demandes du mari. Celle entre autre de porter plus court et d'adopter l'été des mules au pied. Il y eut bien d'autres fantaisies. Je sus que cela s’appelle du fétichisme.J'en pris mon parti m'y étant peu à peu converti jusqu'à adorer. D'autant que j'en vérifiais chaque jour l'effet sur d'autres hommes. Plus rien à voir avec la rigoriste et la pimbêche que j'étais à vingt ans. A présent me procurait un frisson le regard cochon et soutenu d'un homme sur tous mes attributs. Je considérais cela comme un hommage et non du manquement à ma dignité. Pour parler franc cela me ravissait de savoir qu'un type bandait pour moi. Je n'en cachais rien à mon mari lequel goûtait assez ce type d'anecdote qui ajoutait je crois à son désir.C'est devenu un jeu entre nous. Il affecte d'en être offusqué d'abord faisant montre d'une sorte de jalousie. Puis faisant mine de s'emporter, il me traite de salope. Il m'accuse d'avoir encore une fois allumé et suscité ce genre de comportement chez un type. Je proteste bien sure et poursuivant le même jeu, j'invoque mon innocence. Que je n'avais fait que ...
    ... parcourir la rue sans mesurer les conséquences de ma tenue. Et puis n'est-ce pas lui qui m'incite à porter pareilles mini-jupes. Cela au détriment de la décence. Peut-on à plus de quarante ans s'habiller ainsi ?Je vois bien que les voisines, mes supposées amies grincent des dents d'autant que leur mec me reluque du coin de l’œil. De même leurs gamins point en reste ne tarissent pas d'éloges sur mes cuisses. Ils ne vont guère plus loin mais j'ai idée qu'ils ont envie d'en dire autant sur mon cul bien rebondi. J'imagine qu'ils doivent se branler la nuit à son évocation. Bref je suscite un grand désordre autour de moi. Même au bureau je suscite symétriquement louanges et réprobation. Heureusement mon patron qui passe sur tout est un de mes plus ardents défenseurs.Ce sexagénaire rubicond un jour d'ébriété avoua qu'il me voyait avec délectation venir tous les matins. J'égayais la grisaille de ses jours. J'étais le soleil assuré. J'embellissais tous les ans. Il me suppliait par-dessus tout de ne rien changer à mes habitudes. Ce vieux cochon cependant ne se permit jamais de geste répréhensible sur moi. Seule la secrétaire avait droit à passer régulièrement sous et sur le bureau. Il me suffisait d'être adoubée, protégée par ledit monsieur. Les autres collègues mâles constituant un autre chœur admirateur. Je n’avais contre moi que les femmes.Celles-ci je les méprisais. Je n'étais pas mécontente de susciter leur ire. Elles fabriquaient mille et une fables. J'étais habillée pour l'hiver. ...
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