1. Prise à la chaîne par 12 hommes dans


    Datte: 16/07/2019, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Sexe Interracial,

    ... pareille quand il s’agit de parler de cul) se demandant s’ils allaient pouvoir me sauter ou non. Pour ôter définitivement leurs doutes, au prétexte qu’il faisait chaud, je me suis levée pour aller soit disant me rafraîchir dans les toilettes, en fait mon intention était d’enlever ma robe pour rester en body résille largement ouvert à l’entrejambe, sans slip, ni string. Quand je suis revenue au bar dans cette tenue, plus dévêtue qu’habillée puisqu’on pouvait voir mes seins et mes fesses sous la mince dentelle transparente, tous les regards se sont allumés de lubricité. Ca y est j’avais annoncé la couleur (rose), mes clients étaient désormais assurés d’en avoir pour leurs 80 euros et commençaient à fantasmer ce qu’ils allaient me faire subir…Je me suis assise sur mon tabouret haut, les jambes croisées, l’air de rien, mais l’ambiance avait radicalement changé, le climat était devenu plus lourd, plus tendu, électrique pour tout dire. Les 7 garçons ont commencé à s’approcher de moi comme des abeilles autour d’un pot de miel. P* qui avait bien appris la leçon de mon cocu s’est placé debout derrière entre mon siège et la piscine et a commencé, mine de rien, à laisser glisser ses main sur mes fesses au prétexte de tester la douceur de la dentelle de mon body, puis sur mes seins, mes cuisses et ça devant tout le monde, dans la zone publique. Moi je me tenais droite, hiératique, la croupe cambrée sur mon siège et je continuais l’air de rien, éthérée, à faire la conversation. J’étais ...
    ... devenue le temps de faire tomber ma robe, une femme publique, ouverte à tous : jeunes, vieux, beaux, laids, gros, minces, blancs, noirs, tout le monde pouvait me caresser, me peloter et baiser sans rien me demander. Je m’étais transformée en vraie putain de bordel, quasi nue au milieu d’hommes qui avaient payé 80 euros pour posséder mon corps, le temps d’un coït a****l…P* et N* s’enhardissaient de plus en plus, j’avais dénoué et légèrement écarté mes jambes et je sentais la main de N* remonter le long de mes cuisses et effleurer ma fente tandis que P* me pelotait les seins à pleines mains alors que je continuais à deviser mine de rien avec Leila et ses clients.J’étais hyper excitée et je sentais ma chatte toute moite sous les doigts de N* qui me suggérait à l’oreille de monter dans une chambre de l’étage me faire prendre à la chaîne. A un moment mon cocu l’a appelé pour avoir des nouvelles et il est allé dans le jardin pour répondre.Sans attendre son retour, je suis descendue de mon tabouret et je me suis dirigée sans mot dire vers l’escalier prenant au passage une serviette. Les 7 mâles présents m’ont suivi comme un seul homme, certains profitant d’être derrière moi pour me peloter les fesses, pour eux j’étais devenue une putain. Je me suis dirigée vers la plus grande chambre qui a la particularité d’être aussi la mieux climatisée. Un couloir sombre délimité par un mur de bois percé, une sorte de moucharabieh qui permet de mater le lit sans être vu, sépare la pièce en deux, de ...
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