1. Bain japonais


    Datte: 16/07/2019, Catégories: fh, cadeau, inconnu, sauna, massage,

    Je me demandais encore pourquoi j’avais accepté de suivre Sarah ce samedi matin. Mais elle avait décidé de me changer les idées. Alors que je patientais dans un salon du petit hôtel particulier dans lequel elle avait pris rendez-vous pour moi, je ne m’imaginais pas à quel point cette matinée allait me changer les idées. Apparemment, ce petit hôtel particulier d’un arrondissement très chic de Paris avait été transformé en salons de massages : shiatsu, thaïlandais, chinois, californien, classique… toutes les techniques semblaient s’être rassemblées ici. J’avais découvert un salon très sobre : un baquet d’eau chaude trônait au centre de celui-ci, un peu plus loin, un futon qui me semblait bien confortable, une table basse entourée de coussins moelleux… Sur une chaise était posé un peignoir de soie bleue. J’avais ôté tous mes vêtements et enfilé le peignoir de soie. Je frissonnai au contact de la soie sur ma peau nue. Je ne pus m’empêcher de caresser mon corps, faisant glisser la soie, une sensation aussi sensuelle que la main d’un homme sur ma peau. Un doux parfum d’encens me chatouillait les narines et les notes d’un shamisen envahirent la pièce. J’entendis un panneau glisser. Je me retournai et le vis entrer : vêtu d’un kimono noir, Thomas venait d’entrer, les pieds nus. Il portait une pile de serviettes et un nécessaire de toilette. — Bonjour, je suis Thomas. Je vais prendre soin de vous, dit-il en s’inclinant. Je m’inclinai à mon tour, à la manière des japonaises, le ...
    ... souffle coupé. Bien plus grand que le japonais moyen, il me dépassait d’une bonne tête. Sa large carrure tendait le tissu de son kimono bien fermé. Je me demandais ce qui pouvait se cacher sous ce tissu épais. Je me sentis rougir, en sentant son regard sur moi. Il posa son matériel à côté du baquet et vint me prendre les mains : — Ici, nous pratiquons le bain japonais : vous n’avez qu’à vous détendre. J’imagine que vous devez connaître cette pratique ? Je hochai la tête timidement. Il me conduisit vers le baquet et se mit derrière moi. D’un geste doux, il passa ses mains autour de ma taille pour défaire la ceinture de mon peignoir. Ses mains douces et fermes le firent glisser sur ma peau. Je me sentais gênée de me retrouver ainsi nue devant un étranger et il perçut ma gêne : — Ce n’est qu’un soin du corps et de l’esprit, me murmura-t-il. Il se pencha, son kimono frôlant ma peau nue et je l’entendis plonger une éponge dans le seau et il commença à me mouiller les épaules. L’eau chaude dégoulinait entre mes omoplates, mes seins, sur mon ventre, réveillant d’agréables sensations. Je fermai les yeux et me détendis, bercée par la musique et sa voix qui chantonnait. Il me mouilla les cheveux et me les démêla. Je détestais que l’on me touche les cheveux, hormis mon coiffeur, mais ses gestes étaient relaxants. Je me laissai aller la tête en arrière, contre lui. Ce fut comme une onde qui m’envahissait le corps. Il savonna un gant et me frotta les épaules et le haut du dos avec fermeté. Il ...
«1234»