1. Roméo et Juliette - Les malheurs de Cassandra - Acte II


    Datte: 16/07/2019, Catégories: fh, ffh, copains, théatre, humour, théâtre,

    ... relevant et s’essuyant les lèvres d’une main en caressant de l’autre les testicules de Roméo) : Hmmm ! Eh ben, y en avait là-dedans… (Elle vient s’asseoir à côté de Siriac. Roméo reste appuyé contre le mur, dans le coin de la pièce, les yeux fixés au plafond. Son sexe reste tendu, droit comme un i. Siriac sert plusieurs assiettes de choucroute. Flora boit quelques gorgées de vin. Daphné contemple Roméo.) Flora (à Daphné) : Ah, j’aime trop sa queue… Daphné (dévorant ladite queue des yeux) : Oui, je dois avouer qu’elle me donne bien envie… Siriac : Roméo, range ta queue et viens manger ! Daphné (à part) : Oui, range ta queue ou bien… Roméo (comme sortant d’un rêve, regardant entre ses jambes) : Putain, qu’est-ce qui m’arrive ? (Il relève son caleçon et son pantalon et y enfouit avec difficulté son sexe toujours rigide.) Siriac (avec un sourire): Ah, tu as vu, c’est marrant, hein ? Ah, à propos, vous allez me goûter la choucroute, j’y ai mis des petites épices spéciales, vous m’en direz des nouvelles… (Daphné et Flora commencent à manger. Roméo s’approche, hésitant, de la table.) Siriac (à Roméo) : Je te sers ? Roméo : Non, je vais juste boire un coup. (Siriac lui tend un verre de vin. Roméo s’assoit lourdement entre Daphné et Flora. Celle-ci lui passe la main entre les cuisses.) Flora : Aha ! Voilà qui promet pour la fin de la soirée… Roméo (l’ignorant, à Siriac) : Qu’est-ce que c’est que ce plan à la con ? Siriac : Eh ben, tu vois, une soirée cul avec deux bombes sexuelles. ...
    ... C’est sympa, non ? Roméo : Ça dépend du point de vue. J’en connais qui ne vont que moyennement apprécier… Siriac : Parce que tu comptes leur en faire un rapport détaillé ? (Roméo se rallume une cigarette. Flora continue de le caresser à travers son jean, tout en mangeant.) Roméo (à Siriac, sérieusement) : Bon, écoute : ça y est, t’as accompli ton fantasme, je dis rien à personne, je rentre chez moi, et on oublie tout. Tu fous ces deux-là à la porte, tu nettoies ton appart et tu t’excuses auprès de Cassandra… Siriac (amusé) : De qui ? Flora (à Roméo) : Mais t’arrêtes de dire des conneries ? Tu nous prends la tête avec tes greluches. Tu peux pas te contenter d’apprécier le moment présent ? Siriac (avec un sourire) : Oui, on est là, entre copains, on baise, c’est cool… Roméo (regardant Flora) : Écoute, Flora, autant je pense que tu es une fabuleuse bombe sexuelle, une extrême salope et que tu suces comme personne… Flora (l’interrompant, avec un sourire) : Mon amour, tes compliments me vont droit au cœur… Roméo (poursuivant, la dédaignant des yeux) : …autant je suis persuadé que… (Il s’interrompt. Tous le regardent, attendant ce qu’il va dire.) Flora : Oui, que ? Roméo : Non, rien. Je vais être désagréable ! Flora : Tu me fais rire, Roméo… (Daphné, qui a englouti son assiette de choucroute, s’essuie la bouche, boit une ou deux gorgées de vin, puis descend de sa chaise, s’agenouille aux pieds de Roméo et commence à déboutonner son jean.) Roméo (reculant vivement sa chaise) : Mais ...
«12...121314...17»