1. Roméo et Juliette - Les malheurs de Cassandra - Acte II


    Datte: 16/07/2019, Catégories: fh, ffh, copains, théatre, humour, théâtre,

    ... être jalouse… Cassandra (à Eloïse, tandis que Juliette lui dévore la poitrine) : Commence à te déshabiller, ma puce, on arrive… Juliette : Je crois vraiment que je ne t’ai jamais vue comme ça… Eloïse (avec un sourire, tout en se déshabillant) : Oui, il faudra te friter plus souvent avec ton mec… Cassandra (à Eloïse, se relevant et s’approchant d’elle, l’air fâchée) : Ne me parle plus de lui ! (Juliette achève de se dévêtir tandis que Cassandra s’agenouille sur le canapé à côté d’Eloïse désormais nue. Cassandra passe une main entre les cuisses d’Eloïse, qui, en retour, lui mordille doucement les seins. Juliette s’approche d’elles et s’agenouille sur le canapé, de l’autre côté d’Eloïse ; elle presse à son tour sa poitrine contre le visage de celle-ci.) Eloïse (avec un sourire) : Je ne sais plus à quels seins me vouer… Samedi, 23h20 Une rue bordée de petits immeubles (personne) (Roméo entre, marchant vivement sur un trottoir. Il fait quelques mètres, puis s’arrête, se déhanche et presse une main contre son entrejambe.) Roméo : Ah, putain ! Qu’est-ce que c’est chiant de marcher avec la gaule ! (Il repart et s’éloigne de l’autre côté. Il a presque disparu lorsqu’on entend la voix de Flora.) La voix de Flora : Eh, Roméo ! Attends ! (Elle entre en courant, nue, du même côté qu’était entré Roméo. Celui-ci s’arrête et regarde en arrière.) Roméo (découvrant Flora, nue) : Eh, mais t’es givrée ou quoi ? T’es à poil dans la rue… Flora (légèrement essoufflée) : Bah, y a pas grand monde à ...
    ... cette heure-ci… (Un passant arrive justement. Il s’arrête et contemple Flora avec surprise et délectation.) Roméo (retirant sa chemise) : Tiens, mets ça… T’es complètement folle ! Flora (fort, avec un sourire) : Mais c’est parce que je t’aime… (Elle enfile la chemise de Roméo. On devine toutefois encore ses fesses magnifiquement rebondies.) Le passant (exalté, à Roméo) : Hé hé hé ! C’est une bombe, ta copine… (Flora tourne des yeux ravis vers le passant.) Roméo (au passant, froidement) : Oui, je sais. Le passant : La laisse pas filer, celle-là, mon gars ! Roméo (affligé): Oui, c’est cela. Merci ! Le passant (s’éloignant): Ou alors, tu me préviens… (Il sort.) Flora (avec un sourire, le regardant s’éloigner) : Le monsieur a raison, Roméo. Roméo : T’es vraiment secouée, hein ? Qu’est-ce qui te prend de descendre à poil dans la rue la nuit ? Flora (sérieuse): Je te l’ai dit, c’est parce que je t’aime… Roméo : Ce n’est pas moi que tu aimes, c’est ma queue ! Flora (souriant à nouveau) : C’est déjà un début… Roméo : Oui mais moi, c’est Juliette que j’aime. Flora : Et Eloïse ? Roméo : Quoi, Eloïse ? Flora : Tu ne l’aimes pas ? Roméo : Si, Eloïse aussi, je l’aime. Flora : Eh ben, tu vois, si tu en aimes deux, tu peux en aimer trois… Roméo (saisissant Flora par le bras) : Oh la la ! Bon, je vais te raccompagner. Flora (l’arrêtant et plaquant une main contre son entrejambe) : Et puis, tu devrais écouter ta queue… Je crois qu’elle, elle m’aime aussi… Roméo (la prenant par les épaules) : ...