1. J’ai baisé avec trois jeunes gars


    Datte: 16/07/2019, Catégories: Mature, Partouze / Groupe

    ... soutien-gorge noir devant les 3J. Ils devaient me trouver obscène, serrée dans mini, perchée sur mes talons hauts, les jambes gainées de bas noirs. Sur le moment j’y pensai à peine mais aujourd’hui, j’ai honte de ça et de bien d’autres choses. J’ai eu un peu de répit avec le nouveau jeu qui m’a été distribué et ce sont les garçons qui ont commencé à se déshabiller. Jérémie et Jonathan étaient torse nu alors que Julien enlevait déjà son pantalon. Je voyais bien que les trois garçons reluquaient mes gros nichons péniblement cachés à leur vue par les bonnets trop petits de mon soutif. Mes tétons durcis pointaient vicieusement sous l’étoffe trop fine pour les dissimuler.Juste après, j’ai dû enlever ma jupe. Ils ont insisté pour que je garde mes chaussures. J’étais en lingerie et ils ont écarquillé les yeux en grand quand ils ont vu que je ne portais pas de collant mais une paire de bas et un porte-jarretelles. J’étais folle de me livrer ainsi à leurs regards concupiscents mais je n’étais plus maître de mes gestes. Un ultime verre d’alcool, avalé sans m’en rendre compte, avait eu raison de mes dernières réticences. Je n’étais plus la femme raisonnable dont je m’efforçais habituellement de donner l’image à mon entourage, juste une gamine inconséquente et puérile.Quand il a fallu que j’enlève mon soutien-gorge, je me suis exécutée sans gêne. Les gros globes laiteux de ma poitrine ont jailli presque instantanément sous les yeux éberlués des jeunes vicieux. Ils n’ont pas osé les ...
    ... toucher, ni faire de remarque sur ma plastique, mais je voyais bien qu’ils en mouraient d’envie autant les uns que les autres. Je devais être excitée car je sentais que mes bouts me faisaient mal à force de pointer aussi outrageusement. En baissant le regard sur mes lolos, j’ai vu que mes tétines étaient toute raides. Dans une dérisoire tentative pour calmer le jeu, j’ai posé la paume de mes mains dessus. Elles étaient dures sous ma peau.C’est là que Julien a ôté son slip. Le pauvre garçon n’avait plus rien d’autre à enlever. Pour lui, la partie était finie. Il s’est assis au fond d’un canapé de cuir mais je ne pouvais pas m’empêcher de regarder sa bite qui était bandée entre ses cuisses. En y réfléchissant aujourd’hui, je comprends bien pourquoi le camarade de ma fille bandait aussi fermement. Je devais offrir un spectacle très excitant au trio. Moi-même, j’étais toute émoustillée par l’ambiance qui régnait dans le salon, dans mon salon. Il me semblait bien que je commençais à couler entre les jambes. Je me souviens avoir pensé un instant que cela allait se voir, que les garçons allaient s’apercevoir de la tache de mouille qui enflait, enflait au fond de mon slip.Ils n’en ont pas eu le temps. J’ai été obligée de quitter ma culotte après une nouvelle mauvaise passe. Je me sentais vulnérable mais en même temps très excitée par la tournure que prenaient les évènements. J’avais du mal à quitter du regard le zizi tout raide de Julien. Je n’avais pas de fils, juste mes deux filles, et ...