1. On ne passe pas par le jardin


    Datte: 16/07/2019, Catégories: fh, hplusag, Masturbation confession, initfh,

    Ça a commencé par hasard, un pur hasard. Par une indiscrétion aussi involontaire que malheureuse. Indiscrétion qui fut suivie d’une curiosité et d’un intérêt qui n’ont cessé de se développer depuis. Ce jour-là, je suis passé par derrière, par le jardin. Il faisait beau, je pensais qu’elle serait sur la terrasse, à profiter du soleil. J’étais dans le quartier et je me suis dit que j’allais me faire payer un café chez ma copine Marie. Elle est super Marie. On n’a jamais couché ensemble, mais ça ne m’aurait pas dérangé, au contraire. Une fois ou deux, je pense qu’on n’était pas loin de se laisser aller, mais on est juste restés copains et ce n’est peut-être pas plus mal comme ça finalement. Pourtant, elle m’a toujours plu Marie, et je trouve qu’avec l’âge, elle se bonifie. Les quelques formes qu’elle a prises la rendent encore plus attirante, plus appétissante, sans doute parce qu’elle les a prises aux bons endroits. Plutôt gironde, Marie. On a le même âge, la quarantaine avancée. Elle est divorcée, mais elle, elle a eu le temps de faire une fille. Moi je n’ai pas d’enfant, et je m’en passe. Donc, ce jour-là, je décide d’aller me faire payer un café chez Marie et je passe par le jardin. J’arrive sur la terrasse. Personne. La baie vitrée est fermée. C’est bizarre, il y a pourtant sa voiture devant la porte. Sur le point de repartir, mon attention est attirée vers l’intérieur du salon. Il y a quand même quelqu’un là-dedans. J’approche de la vitre, je place mes mains en œillères ...
    ... pour éviter les reflets et là, sur le canapé, je vois Emma, la fille de Marie. Je frappe sur la vitre. Elle tourne subitement la tête vers moi et je comprends que je viens de la surprendre. Je lui fais coucou de la main. Elle reste figée un instant, puis j’ai la nette impression qu’elle s’affaire précipitamment sur quelque chose, comme si elle se rajustait au niveau du pantalon… Merde… Je crois bien que je l’ai surprise en pleine séance de tripatouillage de culotte la petite Emma. En tout cas, ça y ressemble beaucoup. C’est horriblement gênant et je suis sur le point de rebrousser chemin illico, mais ça serait sans doute encore pire pour elle. Je décide de faire l’innocent, celui qui n’a rien remarqué, je lui fais coucou à nouveau et je la vois s’extraire du canapé et se diriger vers la baie vitrée pour venir m’ouvrir. Il va falloir trouver contenance. Elle est écarlate. La tension est palpable. On ne sait pas trop comment entamer la conversation. — Bonjour Emma, je… je ne te dérange pas ? (hypocrite)— Salut… non, non, pas du tout… ça fait longtemps que t’es là ? Cette question ne fait que confirmer ma première impression. Elle est vraiment rouge de honte, comme si elle appréhendait déjà ma réponse. Je me mets à sa place, tant il est vrai que la situation est des plus inconfortables. — Non, j’arrive juste. J’avais vu la voiture de ta mère devant la porte, je me suis dit que j’allais passer me faire payer un café. Elle est pas là, Marie ?— Non, elle est… elle est partie chez ...
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