1. mon prof, ma professeur (2)


    Datte: 17/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La femme s’est assise sur le lit et elle m’a regardée longtemps sans rien dire. Je savais que mes yeux étaient rouges d’avoir pleuré et que mon maquillage avait coulé. J’étais plus humiliée de le montrer à cette femme qu’à Victor. De même que les menottes la position agenouillée, le corset et les manques de la cravache sur mes fesses m’humiliaient plus devant elle que devant lui. En outre, j’avais une peur panique qu’on me pénètre l’anus. Une angoisse indicible et une répulsion immense. Les deux se mélangeaient si bien que je ne supportais même pas qu’on me touche à cet endroit. Or, mon amant venait d’affirmer que cette femme allait me sodomiser. J’étais paralysée par un effroi qui me bouleversait. — Victor à tout de suite pensé que tu ferais un sujet adorable. C’est vrai que tu es ravissante et les larmes te vont bien…je suis sûre que j’aurais beaucoup de plaisir avec toi ! — Mais je ne veux pas de vous… — Ne soit pas stupide. Tu es à moi depuis la première fois que Vicki t’a fait jouir. Souviens-toi comment tu as jouit… Et la femme s’est mise à pousser des gémissements courts et flûtés entrecoupés de « oui, oui, oui » plus énervés et aigus. Exactement comme quand je jouis. Son imitation de mon plaisir était si parfaite que je ne pouvais pas douter qu’elle y avait assisté. Elle était présente quand je croyais être avec Victor dans l’intimité la plus secrète. Je me suis sentie rougir jusqu’au blanc des yeux. — Mais je ne suis pas une…une gouine ! — Tu l’apprendras, comme tu ...
    ... as appris la cravache. Est-ce que tu n’étais pas en train de supplier Vicki de te baiser quand je suis arrivée ? Pourtant il venait de te cravacher et balançais ton petit cul tout rouge dans tous les sens pour qu’il éteigne le feu qui incendiait ta jolie chatte… Tandis qu’elle parlait, elle caressait mes épaules et le haut de mes seins gonflés par mon corset. Venant d’une femme, ce contact me répugnait un peu mais, je ne pouvais m’empêcher ma peau de frémir sous cette douceur. Pas plus que je n’ai pu m’opposer à l’émoi de mes tétons quand elle s’est mise à le taquiner l’un après l’autre du bout des ongles. — Tu vois ! Tu dis que tu n’es pas une gouine mes tes petites tétines gonflent et durcissent dès que je les touche…. Sa main est descendue le long de mon ventre, les doigts ont joué à s’emmêler dans les poils de mon pubis et je me suis raidie quand ils ont effleuré la crête sensible de mon clito. — Aussi nerveuse qu’une pouliche, hein ? je vais t’apprendre à ne plus renâcler…mais ces poils vont me gêner pour te fouetter comme je le désire. Je vais tout de suite t’en débarrasser… J’aurais peut-être dû réagir. Tenter de me révolter. Encore que je sois certaine que ça n’aurait servi à rien. De toute façon, je n’ai pas fait. Irène, la femme m’avait permis de l’appeler Irène, a coupé aux ciseaux le majeur partie de mes poils et elle les a rasé ensuite très soigneusement. Le froid du métal et son glissement sur ma peau me faisaient frissonner. Elle a disposé un miroir entre mes ...
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