1. Susan la pute du bureau Ch. 02


    Datte: 17/07/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... cafétéria, dans l'usine, un grand nombre d'ouvriers la suivaient comme à la parade. Ils la transportèrent quelque part dans les profondeurs de l'usine, remon-tant d'étroites allées, passant devant des machines extrêmement bruyantes, si bruyante que personne ne pouvait entendre ses cris alors qu'ils l'étreignaient fermement. A chaque machine elle voyait de plus en plus d'ouvriers qui posaient leurs gants de travail et se joignaient à la foule de ses suivants. Ils la jetèrent sur le dos au bout d'un large transporteur sur la bande de tissu qui roulait sur des rouleaux d'acier. Il était arrêté, son corps oscillait de droite à gauche alors qu'ils la positionnaient selon leurs vœux. Elle leva les yeux sur le colosse qui l'avait emmenée ici et qui se tenait debout entre ses cuisses. Cet homme aux cheveux taillés en brosse por-tait un étroit tee-shirt sale qui lui moulait le torse, déboutonna son panta-lon extirpant une grosse bite non circoncise qu'il pointa sur la grotte fié-vreuse de Susan. Susan se débattait, mais ses bras et ses jambes étaient maintenues si fermement par ses agresseurs qu'elle ne pouvait vraiment se défendre. Ils applaudirent en voyant le gros coiffé en brosse plonger profondément sa mentule dans le tunnel d'amour de Susan, il plaça ses pieds sur ses épaules comme s'il s'agissait d'une poupée, et la laboura énergique-ment. Elle jeta un coup d'œil circulaire. Les nombreux ouvriers d'usine portaient des fringues graisseuses, avaient les cheveux grisonnants et ...
    ... les dents pourries, ils se tenaient devant de nombreuses machines outils extrêmement bruyantes. Ces machines crachaient des flammes et de la fumée et pulsaient sur des rythmes totalement incohérents. Ce rythme que semblait adopter son baiseur. Ma combinaison des lumières fluorescentes du plafond, des flammes oranges et des voyants multicolores des machines faisaient baigner cet univers particulier dans une étrange luminosité diffuse. Susan jeta un regard sur son environnement sale et bruyant, et les innombrables cris et sifflets des hommes qui la reluquaient, puis sa tête fut tournée de coté et quelqu'un plongea une bite malodorante dans sa bouche. Elle suçait et baisait alors qu'on lui malaxait durement les nibards sur la bande inconfortable du convoyeur. Lorsque le colosse qui la grimpait eut projeté une bonne dose de se-mence au fin fond de sa foufoune, il se retira et fut immédiatement rem-placé par un second amateur alors qu'une queue de gens attendant de la fourrer se formait. Il y eut un trapu chauve de type hispanique qui baragouinait l'espagnol avec une grosse moustache, puis un vieillard aux cheveux gris qui n'avait plus de dents, un colosse noir musclé qui portait des dreadlocks et était doté d'une énorme mentule, un jeune polonais, un autre immigré venant de l'Est européen, l'homme tatoué porteur de piercings, un obèse pesant au moins 150 kg avec son énorme panse. Beaucoup portaient des piercings et des tatouages dans des endroits inimaginables! Elle accueillit des ...
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