1. Ma première fois (2)


    Datte: 17/07/2019, Catégories: Divers,

    ... pour me détendre, elle répéta : « Ça ne fait pas de toi un gay Ben. On s’amuse là... tu m’obéis et c’est tout. Tu te laisses faire... laisse-toi aller ! » Je cédais quasi instantanément et me mit à la sucer sans m’en rendre compte. Elle faisait des allers-retours dans ma bouche. La chaleur et la douceur de son membre ainsi que l’odeur bien plus prononcée que sur sa culotte me firent oublier toutes les conneries que je venais de dire ou de penser. Alexandra avait raison. Et une fois de plus, mon sexe était d’accord avec elle. Sucer une bite n’était pas désagréable du tout une fois qu’on arrêtait de se poser des questions à la con. C’était même bien meilleur qu’un gode, ça ressemblait plus à une énorme fraise rouge qui me mettait l’eau à la bouche. Sauf que la fraise d’Alexandra durait encore et encore. Et que sa queue avait l’air de ne pas vouloir arrêter de grossir. Je ne m’étais pas rendu compte que si j’étais arrivé à la prendre complètement en bouche, c’était parce qu’elle avait débandé pendant notre petite conversation. Là, j’avais beau essayer de la sucer, du mieux que je le pouvais, elle était vraiment énorme pour ma petite gueule. Son gland était surtout très prononcé. Une fois sa bite bandée à fond, je ne pouvais que la sucer du bout des lèvres et la lécher avec ma langue si je ne voulais pas la toucher avec mes dents. Bref, ce qu’elle m’avait conditionné à faire tout à l’heure avec le gode. Je l’entendis alors gémir d’une façon très féminine et elle commença à me ...
    ... limer les lèvres. Elle me prit par les cheveux d’une main et me baisa la tête au sens propre en me donnant des encouragements, tantôt dégradant, tantôt humiliant. Je m’en foutais, tout ce qu’elle proférait comme obscénités m’excitait d’avantage. Je me laissais faire comme elle le voulait sans me poser plus de questions sur les femmes à queue. Que la queue soit d’origine ou un simple jouet attaché à un harnais, il n’y avait aucune différence. Tout ce qui comptait à cet instant, c’était son plaisir à elle. Et quand Alexandra se mit à geindre de façon plus appuyée en se branlant de façon frénétique sur mes lèvres et en m’ordonnant précipitamment d’ouvrir grand la bouche, je l’ouvris sans réfléchir. La seconde avant sa jouissance me parut incroyablement longue et la surprise au moment du premier jet me fit fermer les yeux instinctivement. Je ressentis juste les giclées chaudes fuser dans ma bouche avec le bruit saccadé de sa branlette. Ses gémissements, pendant qu’elle jouissait, me faisaient me sentir bien. Je n’avais pas joui mais elle l’avait fait pour nous deux. Son désir comblé était mon plaisir. Alexandra caressa le bout de son gland sur ma langue et d’une voix relaxée et envoûtante me demanda d’avaler. Je bus son jus par à coup, petit à petit. La consistance était loin de me plaire, comme pour mon propre sperme mais je lui trouvais meilleur goût que moi. Elle dut voir ma difficulté à tout boire car elle ajouta presque aussitôt : « Fais-le pour moi Ben... bientôt tu n’y ...
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