J'ai perverti la mère de mon copain (4)
Datte: 17/07/2019,
Catégories:
Erotique,
... chambre de Laurent pour y déposer la DB et en choisir une nouvelle, car il fallait donner le change. En redescendant, Sophie m’a demandé si j’avais trouvé mon bonheur et si je voulais prendre un café avec elle. Je lui ai répondu oui, à la fois pour la DB et pour l’invitation. J’ai posé la BD sur la table du salon et je l’ai rejointe dans la cuisine. Je me suis alors remémoré ce qui s’était passé le jour de l’anniversaire de Laurent, son fils, et j’ai commencé à bander. Elle était assise à la table de la cuisine, me tournant le dos. Je n’ai pas pu résister, et en passant derrière elle j’ai posé mes mains sur ses épaules et je les ai fait glisser vers sa poitrine pour empoigner ses seins. « Non, s’il te plaît. Restons sages. » me dit-elle entre deux soupirs. « Vous me plaisez tellement. Rappelez-vous la fête d’anniversaire de Laurent. » lui ai-je répondu en bandant comme un âne. Plus je lui malaxais, plus sa respiration s’accélérait, et je pouvais également sentir les pointes de ses seins s’ériger et durcir sous mes caresses. Je continuais mes caresses tout en lui appliquant de doux baisers dans le cou. Je lui murmurais à l’oreille : « Venez, nous serons plus à l’aise dans le salon. » Elle s’est levée, et la prenant par la main je l’ai entraînée au salon, vers le canapé. Avant de nous asseoir, je lui ai fait retirer sa robe de chambre. Elle était maintenant devant moi, dans sa nuisette qui lui arrivait à mi cuisses, au travers de laquelle je pouvais entrapercevoir qu’elle ...
... portait une petite culotte en coton blanche ou claire. Je l’ai fait s’asseoir dans le canapé, puis je me suis assis à côté d’elle. Je l’ai enlacée dans mes bras et j’ai déposé sur ses lèvres une succession de petits baisers. Après une multitude de ces baisers, elle a posé sa main sur l’arrière de ma tête pour maintenir mes lèvres collées contre les siennes. Sa bouche s’est entrouverte comme pour inviter ma langue à venir à la rencontre de la sienne. Nos langues se sont entremêlées et ce langoureux baiser m’a paru durée une éternité. Ma main droite ne perdait pas son temps, elle continuait à caresser alternativement ses seins l’un après l’autre au travers du fin tissus de sa nuisette. Puis j’ai fait glisser ma main sur son ventre, où je me suis attardé quelques instants pour le caresser délicatement au niveau de son nombril. J’ai continué à la caresser tout en descendant ma main vers son entrejambe et l’endroit tant convoité. Mais ma main a continué sur sa cuisse jusqu’à la limite de la nuisette. J’ai enfin senti sa peau douce, entre le bas de la nuisette et son genou. Je suis resté là quelques instants, tout en ne relâchant pas notre baiser. Puis ma main a pris le chemin inverse pour remonter, mais en passant sous le tissu de la nuisette, et en s’infiltrant entre ses cuisses. Elle resserra brusquement les cuisses, brisa le baiser, et attrapa ma main pour l’empêcher d’aller plus loin. « Arrête. Ce n’est pas bien, je suis mariée et la mère de ton copain Laurent. » me dit-elle. Je ...