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Le joli mois de mai. 7ème partie.
Datte: 18/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... qui m’enserre. Le fait d’aller et venir en elle très lentement, en silence, décuple cette sensation. Sentir le regard et le sourire complice de nos amis sur nous et constater que devant nous la guide et ses touristes ignorent notre petit jeu est exquis. Mais bientôt nous devons passer dans une autre salle plus vaste et plus claire cette fois. Tout autour de nous : des cuves en inox immenses et un peu en retrait : des palettes de bois sur lesquelles sont empilés des cartons de bouteilles en partance vers le Japon, apprenons-nous. Toujours aussi excité, je me fais violence pour ne pas sauter sur ma femme. Nue sous sa robe, campée devant moi, je sais que son minou est encore ouvert de mon dernier passage en elle. Sur un signe de la responsable des visites tout le groupe glisse plus loin vers une cuve spéciale, ce qui me permet sous le regard de plus en plus lubrique de Nicolas et Valérie de pénétrer de nouveau ma femme. Notre relative tranquillité me permet de ne pas me réfréner et je l’entreprends toujours par derrière avec vigueur cette fois, lui arrachant des gémissements suggestifs. Quand le groupe revient vers nous, je dois à nouveau me décoller d’elle, rabattre sa jupe et ranger vivement mon sexe dans mon pantalon. La scène a le don de faire pouffer de rire nos amis et d’attirer de nouveau sur nous les regards intrigués des touristes. Ce petit jeu commence à m’énerver mais aussi à plaire à ma coquine d’épouse. Nous finissons bien sûr la visite par la dégustation, mais il ...
... nous est impossible de continuer à faire l’amour dans la salle ouverte où d’autres groupes attendent leur guide. En voyant le pictogramme des sanitaires sur une porte, je glisse un mot dans l’oreille de Christelle qui m’emboîte le pas en direction des toilettes. La première porte franchie je me dirige vers celles indiquées « Messieurs », suivi par ma femme. À peine la porte refermée elle soulève sa robe et, un pied au sol et l’autre posé sur la cuvette, elle me fait face en me disant : - « Vite je n’en peux plus ! Baise-moi ! » Mes mains sur les hanches je l’empoigne, la pénètre profondément et au bout de quelques minutes nous jouissons dans un cri commun. Je me sépare d’elle, encore chancelant et reprends mes esprits en la regardant porter la main à son sexe d’où le sperme s’écoule maintenant. Elle est belle à couper le souffle et je reprends mes esprits lentement. Quand nous ressortons encore ébouriffés de nos exploits nous croisons les regards goguenards de nos amis, mais aussi ceux réprobateurs de la guide et de certains pisse-froids de touristes. Entre temps quelques cartons du millésime 2012 ont changé de mains et c’est les bras chargés que nous rejoignons la voiture qui nous ramène cette fois sans détour à Saint Jean de Médoc. La fin de journée est superbe. Le soleil de mai tombe derrière les collines vallonnées recouvertes de vigne. Ma femme est belle, nos amis adorables. Il nous reste une journée avant le retour vers Nantes. Une journée et ce soir... De retour chez ...