1. COLLECTION SM. Mon nouvel environnement. (5)


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... contact du mien, je sens qu’il bande. C’est à ce moment que je prends conscience que l’eau de notre piscine est chauffée certainement dans le local qui se trouve à quelques mètres et qui déverse l’eau régénérée en cascade par la statue de tigre, la gueule ouverte menaçante qui est placée en son milieu. Vivian tenant la margelle à son tour, je prends une bouffée d’air et je plonge pour parvenir à hauteur de sa ceinture. La défaire est difficile car elle est mouillée mais sans le vouloir à l’endroit où j’ai sauté il a pied. Finissant par céder, je suis dans l’obligation d’aller respirer avant de replonger pour retrouver ma convoitise. J’ai déjà eu mon dessert mais la hampe que je mets dans ma bouche est la cerise sur le gâteau. Faire l’amour dans une piscine et surtout sous l’eau reste un exercice périlleux alors je ressors et me pendant à son cou je réussis à m’empaler sur le pieu qu’il me propose. J’arrive à le faire glisser en moi l’enserrant de mes bras et je sens rapidement le plaisir monter en moi. Plaisir bien différent que celui qu’il y a quelques heures sa machine maudite me distillait mais plaisir aussi intense que celui de la langue qui m’a taraudé supputant qu’une femme est entrée dans notre vie. La façon dont outre le repas divin, Vivian me montre la hauteur de son amour me rassure sur celle qui secrètement je l’espère restera à notre service pour notre simple plaisir même si j’ignore qui elle est. Un peu vicieuse, je m’échappe et le temps qu’il enlève son ...
    ... pantalon tombé à ses pieds je me pose sur les marches attendant son arrivée pour que sa verge retrouve ma grotte. L’angle des marches martyrise le bas de mon dos mais j’ai appris à être baiser entre plaisir et douleur et j’accepte la situation sans me plaindre. Pour me plaindre il faudrait qu’il libère ma bouche qui semble lui avoir manqué depuis la dernière fois où nous avons fait l’amour comme un couple normal. Cette question en amène une autre dans ma tête, quel jour sommes-nous, combien de temps s’est écoulé depuis le jour où je l’ai laissé m’attacher sur mon lit à Beaune. Le temps semble devenu immatériel pour moi mais je suis sûr que cela va faire partie de ma nouvelle vie. En attendant une nouvelle fois je lui échappe remontant les quatre marches pour courir sur cette belle pelouse qui me donne envie de batifoler. Il me suit et j’ai l’impression de me retrouver dans ma forêt à courir devant lui avec une seule différence c’est qu’aujourd’hui je sais que c’est lui et que je sais que s’il me rattrape j’échapperais aux dents d’un sanglier pour retrouver pleinement sa queue. Je tiens la forme même s’il y a peu il m’a rempli l’estomac et j’arrive à contourner la maison, le chai ou le viticulteur faisait son vin et surtout la descente qui permet d’atteindre ma cave de mes plaisirs. Le gravier me fait mal au pied mais aujourd’hui je suis à égalité avec ce beau satyre qui me court après car en sortant de l’eau il a été obligé d’ôter ses chaussures car elles étaient remplies d’eau. ...