La neige est notre alliée
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
inconnu,
forêt,
pénétratio,
init,
humour,
sf,
... temps de passer à la suite. Loin de se démonter, elle saisit délicatement les revers de mon col, me forçant à me lever. Amusé, intrigué, je me laisse faire et au moment où je me dresse de toute ma stature devant elle, d’un geste vif, elle fait sauter tous les boutons de ma combinaison. — Est-ce que mes initiatives vous apportent du plaisir, Maître ? Moi, le leader de la révolution, je suis sur le cul ! En raison de ses charmantes initiatives, justement. Mais aussi pour le ’titre’ dont elle m’honore, encore une idée d’Eva, je le parierais. Et surtout pour le plaisir que oui, elle m’offre et qui me bouscule délicieusement. Je me jetterais volontiers sur cette bonne élève, au regard à la fois farouche et anxieux… mais je m’empêtrerais dans ma combinaison à moitié descendue sur mes jambes. Une péripétie qui serait peu glorieuse pour un ’Maître’. En deux contorsions et un pas de côté, je me débarrasse du problème. Puis avant qu’elle n’ait bougé, je tends la main vers son soutien-gorge, disons plutôt la brassière oppressante qui en fait office. D’un geste vif, je l’arrache. Sûr, les théoriciens du grand Conseil n’avaient jamais imaginé de tels gestes, et le tissu cède d’un coup, libérant la poitrine compressée depuis des années. Un soupir ample s’échappe de la bouche de Marie, signe de délivrance mais peut-être aussi d’appréhension. Devrais-je être plus modéré ? — Et les miennes d’initiatives, elles te plaisent ? demandé-je en laissant tomber à terre le tissu déchiré.— Beaucoup, ...
... oui ! réplique-t-elle avec aplomb, en m’arrachant le slip qui ne couvrait plus qu’à moitié mes attributs. Je dois l’avouer, cette fille m’étonne. Eva, qui la couve du regard, y est sans doute pour beaucoup. Mais quand même, quel tempérament ! Alors, je décide de changer de registre. Pour m’amuser à la surprendre. Mais aussi parce que je crois qu’elle saura faire face. Mes mains tendues vers elle, je fais mine de lui arracher son dernier rempart d’intimité, puis au dernier moment, je la soulève avec douceur et la dépose sur le lit moelleux. Et effectivement, Marie s’adapte avec une facilité déconcertante, se détendant et s’affalant sans hésiter au milieu des coussins. — Tu m’as l’air prête pour découvrir la douceur et les caresses…— … et connaître les chemins du plaisir… Non seulement, je suis prête mais j’en meurs d’envie… Marie est une élève idéale. Elle sera plus qu’une recrue, dans le bataillon de nos forces vives, nul doute qu’elle diffusera les préceptes avec autant de ferveur qu’elle s’apprête à les accueillir ! Que les premiers bataillons ouvrent grand les yeux. Je scrute autour de moi. Notre couche est bien éclairée par les flammes de l’âtre mais le reste de la pièce est dans la pénombre. Je cherche des yeux où pourraient être les failles dans la roche, ménagées par les équipes à ma demande. Derrière, des hommes, des femmes, en silence observent. Eva les a choisis, pour leur intelligence, leur résistance aussi. Dans quelques heures, ils seront mes lieutenants. Pour ...