1. Seconde chance


    Datte: 21/07/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral

    ... pensent avec leur queue, de ceux qui enchaînent les aventures. En gros, elle lui dit ce qu’elle pense de lui. Il le prend comme tel et s’offusque. Il est vexé. Elle lui avoue qu’il n’est pas déplaisant, mais que quand il avait tenté de la séduire, elle avait bien senti son esprit don Juan. Même célibataire, à cette époque, elle lui aurait dit non. Pas question de coucher avec un mec qui ne la verra même pas. Elle lui avoue aussi qu’avec le recul et les coups qu’elle a pris depuis, si c’était à refaire, c’est elle qui l’aurait violé. Gros blanc. Il ne comprend pas. Il ne la comprend pas. Elle vient de lui envoyer ses quatre vérités au visage, et juste après lui dit qu’à l’époque – mais avec ce qu’elle sait maintenant de la vie – elle l’aurait mis dans son lit. Il est perdu. Elle lui dit alors le fond de sa pensée. S’il veut partir maintenant, qu’il ne se gêne pas. S’il reste, elle va se dévêtir devant lui et attendre qu’il fasse de même. Elle va se comporter comme il se comportait à l’époque et lui faire l’amour. C’est elle qui dirige. Elle veut qu’il lui promette de ne parler de ça à personne évidemment, mais aussi d’oublier ensuite son adresse et le code de sa porte. Tout en parlant, elle s’est levée devant lui et a terminé de déboutonner son chemisier. Elle ôte son soutien-gorge et lui montre ses jolis petits seins. Elle ne se déshabille pas comme une femme sensuelle qui cherche à teaser son compagnon, mais comme un homme qui montre son corps. Avec fierté et une certaine ...
    ... brutalité. Elle descend sa jupe et glisse son string à ses pieds. Elle se rassied sur le canapé, en tailleur, les mains sur ses genoux, et le regarde. Le boss est désarçonné. Il aime séduire, draguer et convaincre. Elle a pris l’initiative. Elle lui offre son corps et il n’a pas à la conquérir. Elle le traite d’égal à égal. Il n’a aucun pouvoir. Elle s’allonge sur le canapé devant lui, se glisse un coussin sous la tête, et le regarde dans les yeux. « Tu pars ou pas ? » Il se lève, se déshabille, comme elle ; il n’a pas besoin de répondre. Sans la quitter des yeux, il retire tout. Son sexe est rabougri. Il ne bande pas. Il a bonne mine, le tombeur ! Solange lui tend une main, et enfin sourit. Elle l’attire vers elle et l’invite à s’allonger. Les minutes suivantes, ils sont corps contre corps à se sentir, à se serrer, à se découvrir. Il oublie son stress et devient tendre, l’embrasse doucement. Il voudrait fusionner leurs corps tant il se sent bien dans ses bras. Enfin un homme contre elle. Que c’est doux. En plus, il est bien plus tendre que ce qu’elle anticipait. Elle avait presque espéré qu’il lui saute dessus pour la baiser brutalement, mais finalement, ça aussi elle aime. Son plaisir monte tout doucement et il ne s’est pas jeté sur sa chatte. Son sexe s’est tendu, c’est qu’il doit apprécier lui aussi. Solange se dégage et se lève ; sans un mot elle lui tend une main et le guide vers sa chambre. Un matelas posé au sol pour seule couche. Elle monte dessus, face à lui, et lui ...
«12...456...»