1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (6)


    Datte: 22/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et grosse devant leurs ébats. Sur un signe de madame, je m’approchai et elle suça mon sexe déjà bien humide tandis que son homme s’occupait de sa chatte qu’il pénétrait assidûment. Puis il se coucha sur le dos ; c’était un homme au physique assez enrobé, alors qu’à cette époque ma propre brioche était encore discrète. Il se masturbait en nous regardant ; sa bite était non loin de moi. Là, son épouse sortit ma queue de sa bouche et me demanda très naturellement : tu veux bien t’occuper de mon mari ? Je ne m’attendais pas spécialement à cela ; la bisexualité masculine n’était pas un sujet que nous avions abordé, et de mon côté, je n’avais aucune expérience - je peux même dire que je n’avais aucune attirance pour le corps des hommes. Pourtant, docile, et je m’approchai de la queue encore humide du vagin de madame, et commençait à le masturber, tandis que sa femme me suçait. Je fus étonné par le contact de ce sexe d’homme. Quand on branle son propre sexe, il semble très dur ; on imagine que si on pouvait le sucer, on sentirait quelque chose de rigide entre ses lèvres. Là, je ...
    ... touchais quelque chose qui, malgré une bandaison indiscutable, était assez souple sous les doigts. La sensation la plus étonnante était de tenir un sexe mâle, sans ressentir soi-même la pression de sa propre main sur ce sexe - comme si une moitié de la sensation manquait. Il me demanda de le sucer ; je pris le sexe dans ma bouche, lécha le gland, prit les couilles dans ma bouche aussi, tout en continuant à le branler. Je n’étais pas prêt à recevoir du sperme sur moi ; je le fis venir avec ma bouche et ma main, et quand la jouissance s’annonca, je dirigeai le jet dru sur son ventre. Il l’inonda de foutre. Pendant ce temps, trop concentré sur cette nouvelle tâche, je n’avais pas joui dans la bouche de l’épouse. Je me mis donc sur le dos pour me branler. Pour m’aider à éjaculer, mes deux comparses d’un soir m’étonnèrent : chacun prit un de mes pieds et les suça. Je me masturbai avec force en sentant leur langues s’agiter entre mes doigts de pieds - c’était, ça aussi, inédit. Je me vidai les couilles sur le ventre et ce fut ainsi la fin de la soirée. Je ne les revis jamais plus. A suivre... 
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