1. Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise (6)


    Datte: 31/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... jour peut-être j’y retournerai mais pour l’instant c’est hors de question. En ayant raconté son histoire, Sharon a éclaté en sanglot dans les bras de Jean-Luc qui tentait de la consoler. Jean-Luc voyait qu’elle avait vécu des moments difficiles. Il lui sécha ses larmes et la regarda dans les yeux. — Ecoute, si tu le veux tu peux rester. Tu le sais tu me plais et …. — Je veux rester. J’aime bien ma vie ici et surtout Oscar. — Tu sais qu’une fois il t’a appelé maman ? — Oui il l’a fait un jour quand nous étions au parc et je comprends pourquoi. Il avait vu les autres enfants partir avec une femme qu’ils appelaient maman et il a fait pareil avec moi. Mais …. — Mais quoi ? t’es un peu comme une deuxième maman pour lui … et aussi ma petite femme maintenant. — Justement, sa vraie maman à Oscar c’était Cécile et c’était une amie. Lui prendre son fils, j’aurais l’impression de trahir sa mémoire. — Pas plus que de coucher avec son homme ? — ….. — Ecoute. La vie continue. Tu me plais et visiblement, ça se passe bien entre nous. Il ne faut pas culpabiliser. Elle n’est malheureusement plus là et il faut aller de l’avant. Je la connaissais assez bien pour savoir qu’elle n’aurait pas aimé qu’on reste seuls, moi et Oscar. — Oui mais ça me gêne si Oscar m’appelle maman. — OK, on verra ça en temps voulu. Bon comme t’as vécu des moments difficiles, ce soir c’est moi qui cuisine et toi tu mets les pieds sous la table. — D’accord mais avant …. — Quoi donc ? — Voilà …. Ça fait une semaine que je ...
    ... n’ai pas été …. Enfin bref, j’ai les mamelons douloureux et …. — Ok j’ai compris. Ça tombe bien j’avais soif. Viens t’assoir sur mes genoux. Jean-Luc fit s’assoir Sharon face à lui sur ses genoux, une jambe de chaque côté. Puis il défit son chemisier comme si il déballait ses cadeaux de noël. Une fois seins nus devant lui, il commença à ploter les seins de la demoiselle avant de porter les mamelons à sa bouche afin de les téter. A chaque aspiration sur chacun de ses seins, Sharon sentait que la douleur s’en allait. Elle poussait des soupirs de soulagement et en venait même à caresser le crâne de son patron qui se désaltérait à ses deux mamelles. Plus tard, après un délicieux repas concocté par son patron, Sachant qu’ils allaient avoir un long trajet le lendemain, Sharon reparti dans sa chambre. C’est au moment où elle allait passer la porte que Jean-Luc l’attrapa par le bras. — Tu tiens vraiment à dormir seule alors que tu pourrais le faire blottie dans mes bras au chaud ? — C’est que…. — Tu sais, vu la manière dont évoluent nos rapports, tu pourrais partager mon lit et mettre tes affaires dans ma chambre. — Vraiment ? — Oui. Et puis tu pourrais aussi arrêter de me vouvoyer et m’appeler par mon prénom, tant qu’on y est. — Vous êtes … pardon tu es sûr ? — Absolument. — D’accord — Euh … mais tu ne comptes pas faire ça maintenant quand même ? Demanda t’il en la voyant commencer à prendre ses affaires. — Ah … Euh … oui, bien sûr. On fera ça demain. — Ah non demain, je repars pour ...
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