1. Charles


    Datte: 22/07/2019, Catégories: ff, ffh, fbi, frousses, Collègues / Travail fépilée, telnet, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, jeu, ecriv_f,

    ... soutien-gorge était identique à celle de celui que je lui avais laissé. Je passai ma main dans sa nuque et approchai mes lèvres des siennes, "Merci." Puis, Sophie fit de même. "Le moins que nous puissions faire, c’est de les essayer", dis-je à Sophie avec un sourire entendu. Puis, je me tournai vers Charles et lui demandai : "Tu nous les mets ?" Il ne sembla pas comprendre de quoi je parlais. "Tu n’as jamais déshabillé de fille ?" lui demandai-je. Bien sûr que si !" me répondit-il. "Eh bien", lui dis-je, "c’est exactement l’inverse que je te demande de faire." Son visage s’éclaira et il s’approcha de moi. "Commence par Sophie", lui dis-je, "il faut que je m’occupe du dîner." Je retournai dans la cuisine, le temps de vérifier que ma sauce mijotait toujours et que rien ne brûlait. Lorsque je revins au salon, Sophie était nue. Son jean et son chemisier étaient posés négligemment sur le divan. Charles était à genoux devant elle, en train de remonter le long de ses jambes la petite culotte qu’il venait de lui enfiler. Les yeux de Charles étaient rivés sur le pubis rasé de ma copine et c’est avec un regret évident qu’il enveloppa les petites fesses de Sophie dans la petite culotte. Charles prit ensuite le soutien-gorge et glissa les bretelles le long des bras de Sophie et jusqu’à ses épaules. Il plaça les bonnets en face de ses seins puis glissa ses mains sous les bras de Sophie et entreprit de l’agrafer dans son dos. Il sembla interroger Sophie du regard et celle-ci lui demanda ...
    ... d’ajuster ses seins à l’intérieur des bonnets, ce qu’il fit avec beaucoup de dextérité. Puis il prit le chemiser de Sophie et le lui enfila. Enfin, il lui remit son jean, non sans difficulté. Charles se tourna ensuite vers moi. Il passa ses bras autour de mon corps et je dois admettre que j’étais terriblement excitée par le contact de son corps viril contre le mien et plus particulièrement par cette chose dure que je sentais contre mon pubis. Il défit la fermeture Eclair de ma jupe et laissa celle-ci glisser le long de mes jambes. Puis il recula et regarda ma chatte, son visage s’éclaira d’un sourire : "Je m’étais souvent posé la question", murmura-t-il. "Quelle question ?" demandai-je. "Si tu étais rousse partout", admit-il en rougissant. "Bêta", lui répondis-je, "tu aurais pu le savoir en regardant mes sourcils." Un peu gêné, il empoigna mon pull et entreprit de me l’enlever. Je levai les bras pour lui faciliter la tâche. J’étais nue devant lui et j’en ressentis beaucoup de plaisir. Il prit le porte-jarretelles qu’il m’avait offert et l’attacha autour de ma taille. Il s’empara ensuite de l’un des bas et tenta de le glisser à mon pied. Il s’y prenait maladroitement et pour éviter qu’il ne les abîme, je décidai de les enfiler moi-même. Je le poussai sur le divan et après avoir glissé un bas à mon pied, je posai celui-ci sur le genou de Charles, avant de le remonter sensuellement le long de ma jambe et de l’attacher à mon porte-jarretelles. Charles ne s’intéressait cependant ni ...
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