1. Marie - Ange & Démon (15)


    Datte: 22/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Je n’aurais jamais dû avoir une telle conduite après l’avoir surpris en train de renifler mes petites culottes dans le panier de linge sale. Mais, comment pouvait-il ? Je n’arrivais pas à le croire. Et pourtant, pas de doute, c’était ce même Momo, que j’avais pris en affection, que j’avais aidé, en qui j’avais toute confiance, qui était là maintenant devant moi, en train de lécher le fond d’une de mes petites culottes roses. Quelle attitude adopter, je balançais entre colère, compassion et excitation. Impressionné par mes lèvres frémissantes et mes yeux étincelants, cet homme, qui aurait largement pu être mon grand père, baissait les yeux, tout penaud devant moi. Résigné, il attendait sa punition. — Espèce de vieux cochon, tu n’as pas honte — Pardon, pardon Mademoiselle Marie, mais vous êtes si belle… — Belle ? Et cela te donne le droit de lécher mes culottes comme le porc que tu es ? Et c’est là que je dérapais. À cet instant, je compris que je pouvais tout attendre de lui. Le dominer complètement, en faire ma chose. Nous étions samedi, je revenais des courses, le boucher une fois de plus m’avait parlé de sexe. Dès mes premières visites, il m’avait ciblée. Au départ de simples plaisanteries grivoises, puis très vite à la limite de la grossièreté. De plus en plus, je sentais le feu prendre entre mes jambes aux paroles du boucher. Surtout lorsqu’il y avait du public, il voyait sous ses mots monter mon désir, il connaissait la fascination qu’exerçait sur moi son manège ...
    ... doucereux. Puis il s’était enhardi. Il s’approchait et me murmurait des « Je parie que dans tapetite culotte tu es déjà toute mouillée. Tu aimes que je te parle, hein ? Ce matin-là il était allait jusqu’à me dire à l’oreille combien il aimerait me mettre sa langue dans ma « petite chatounette ». Puis il s’était écarté pour déclarer à la cantonade — Je peux vous en mettre une bien, bien longue si vous voulez. Vous les préférez bien épaisses ? Soucieuse de me pas développer et de me laisser entraîner dans une nouvelle conversation oiseuse je me contentais d’un « oui » timide. Naturellement, les clients n’avaient aucune raison de prêter attention à ses paroles, mais moi je m’étais mise à mouiller. J’avais trempé ma culotte. J’étais encore tout excitée et là je ne m’explique toujours pas comment j’avais pu réagir de cette manière. Je me baissais et me déculottant devant Momo, je lui collais ma culotte sous le nez. — Tiens vas-y montre-moi comment tu fais ça, vas-y, lèche ! À peine une hésitation et Momo renifle mon fond de culotte tout humide puis en me regardant pas en dessous il sort sa langue et commence à en lécher l’entrejambe. — Allez vas-y, régale-toi bien mon cochon ! Visiblement soulagé par la tournure des événements il s’exécute, s’applique. Il lèche bien à fond sans oublier de mordiller le coton pour bien en exprimer ma mouille. L’excitation me gagne. Je coule une main sous mes jupes et m’enfonce l’index bien profond dans le trou du cul. — Lèche mon doigt maintenant, suce ...
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